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Le principal suspect dans l'attaque contre une boîte de nuit à Istanbul a été "capturé"

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La police turque a arrêté lundi soir à Istanbul l'auteur présumé de l'attaque la nuit du Nouvel An contre une discothèque de la plus grande ville du pays, qui avait fait 39 morts, après une longue chasse à l'homme.

Selon l'agence progouvernementale Anadolu, le suspect se nomme Abdulgadir Masharipov. L'agence de presse Dogan a indiqué pour sa part qu'il utilisait comme nom de code Abou Mohammad Khorassani au sein de l'EI.

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Le suspect, après son arrestation

Il avait déjà été identifié sous ce nom par les services de renseignement et la police anti-terroriste d'Istanbul comme un Ouzbek de 34 ans, faisant partie d'une cellule de l'EI en Asie, selon des articles parus dans la presse turque le 8 janvier.

L'homme a été retrouvé avec son fils de quatre ans dans un appartement du quartier stambouliote d'Esenyurt lors d'une vaste opération policière, selon la chaîne de télévision d'Etat TRT.

Selon TRT, l'arrestation s'est produite lors d'un coup de filet mené conjointement par la police et les services secrets turcs MIT au milieu de la nuit (21H15 GMT). La police avait repéré la cache du suspect trois jours auparavant et l'avait suivi pour pouvoir identifier ses complices.

L'agence de presse Dogan a publié une photo du suspect, le visage ensanglanté et vêtu d'un T-shirt, fermement maintenu au cou par un policier.

Il était en cavale depuis plus de quinze jours, après avoir ouvert le feu sur des centaines de personnes qui célébraient le Nouvel An dans la discothèque branchée Reina, au bord du Bosphore, semant le chaos (39 morts dont dont 27 étrangers).

L'attentat a été revendiqué par le groupe Etat islamique (EI).

Des informations avaient indiqué dans un premier temps qu'il serait originaire du Kirghizstan, ou qu'il serait un Chinois ouïghour.

Vague d'attentats

Les autorités avaient renforcé depuis l'attentat les contrôles aux frontières pour éviter que l'assaillant ne leur échappe et des informations laissaient entendre qu'il n'avait jamais quitté la ville.

Selon la chaîne TRT, le suspect résidait dans un appartement loué par un ressortissant kirghize à Istanbul, qui a été également arrêté.

Selon l'agence progouvernementale Anadolu, cinq personnes ont été appréhendées dans l'opération de lundi soir, dont trois femmes. Le fils du suspect a été confié aux services sociaux.

Au moins 35 personnes avaient déjà été arrêtées en lien avec l'attentat avant cette opération policière, selon le décompte d'Anadolu.

Le suspect a été conduit au siège de la police stambouliote pour y être interrogé et d'autres opérations policières ont eu lieu dans la ville, ajoute Anadolu, sans donner plus de détails.

Selon les médias turcs, l'assaillant était un tireur très bien entraîné qui avait combattu pour l'EI en Syrie et était devenu un expert en armes.

Plusieurs médias avaient aussi affirmé que le tueur présumé s'était installé en novembre à Konya (centre) avec son épouse et leurs deux enfants à son retour de Syrie afin de ne pas éveiller les soupçons.

L'attentat au Reina avait marqué un début d'année sanglant pour la Turquie, déjà secouée en 2016 par une tentative de coup d'Etat et une vague d'attaques meurtrières commises par des jihadistes ou la rébellion kurde.

La Turquie a été accusée par ses alliés occidentaux de ne pas avoir fait suffisamment contre la montée en puissance de l'EI, accusation que les autorités turques rejettent, faisant valoir qu'elles ont placé le groupe sur leur liste des organisations terroristes depuis 2013.

En revendiquant le carnage du Reina, l'EI a reproché à la Turquie son intervention en Syrie et sa participation à la coalition menée par les Etats-Unis qui combat le groupe jihadiste en Syrie et en Irak.



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Égypte: Huit policiers tués dans l'attaque d'un poste de contrôle au sud-ouest du pays

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INTERNATIONAL - Huit policiers égyptiens ont été tués ce lundi 16 janvier dans la soirée dans l'attaque d'un poste de contrôle par un groupe d'hommes armés dans la province d'el-Wadi el-Gedid, au sud-ouest du pays, a annoncé le ministère de l'Intérieur.

Deux des assaillants ont été tués tandis que trois autres membres des forces de sécurité ont été blessés, a-t-on déclaré de même source.

L'attaque s'est produite au contrôle de al-Naqab, à environ 80 kilomètres de la ville de el-Kharga, la capitale de la province, a précisé le ministère.



Les militants jihadistes ont tué des centaines de soldats et de policiers depuis le renversement par les militaires du pouvoir du président islamiste égyptien Mohamed Morsi, en 2013. Une traque intense des militants islamistes s'en est suivie.

La plupart des attaques des militants islamistes ont eu lieu dans le nord de la péninsule du Sinaï, zone frontalière d'Israël et de la bande de Gaza. Des attaques se sont produites aussi dans d'autres parties du pays, y compris au Caire.

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Top 3 des patients qu'on adore

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Mesdames et messieurs, soyez les bienvenus. Merci d'être tous présents, ici, ce soir, pour la cérémonie de remise des stéthos d'or. Les candidats ont été très nombreux cette année et très motivés et comme à chaque année, nous avons eu droit à beaucoup de surprises et de moments émouvants.

Le choix a été difficile, mais au final, nous sommes parvenus à sélectionner 3 finalistes qui auront l'honneur de recevoir le très honorable stétho d'or. Venus, des quatre coins du pays, nos candidats ont fait preuve de beaucoup de persévérance et d'ingéniosité et nous avons finalement pu choisir nos 3 patients préférés:

À la 3ème place, j'ai le plaisir de vous présenter:

LE DRAMATURGE:

Oui, bien sûr, il y a des gens qui souffrent réellement, et l'esprit de notre compétition n'est certainement pas de rire du malheur de braves personnes. Non, le dramaturge est une personne qui crie "aïe" avant qu'on ne la touche, et qui étrangement ne se met à crier que lorsqu'un médecin se trouve devant sa porte. Le dramaturge est celui qui vous regarde avec des yeux larmoyants en vous disant "docteur, vais-je survivre?" alors qu'il n'a qu'un rhume. Bon j'exagère peut être un peu, mais lui aussi!

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Légende: "Si je vous fais mal, dites-le moi" dit le médecin. "Aïe Aïe, vous me faites mal" répond la patiente, ce à quoi le médecin répond gêné: "Mais je ne vous ai pas encore touché".


A la 2eme place, je nomme:

CELUI QUI N'A RIEN A FAIRE:

Etrange n'est ce pas? Que pendant un match de la Champions League ou pendant le feuilleton du mois de ramadan, il est impossible de trouver "celui qui n'a rien à faire" aux urgences. Il faut attendre la fin de ces petits divertissements, pour le voir accourir aux urgences en réclamant une attention immédiate, parce que sa situation ne peut plus attendre. Son urgence? Une toux traînante depuis 3 ans, qui n'a vue aucun changement récent. Mais ça valait bien la peine de venir aux urgences à 4h du matin, on ne sait jamais!

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Légende: "Bonjour, je viens faire un check-up"


Et finalement mesdames et messieurs, notre vainqueur. On applaudit très chaleureusement:

LA BRUTE:

Voici, très chers convives, un spécimen, pas rare du tout. Il n'aura aucun remord à vous brutaliser, à vous menacer, à saccager tout sur son passage histoire de bien motiver ces fainéants de médecins ou bien de les punir pour avoir assassiné de sang froid leurs proches. Vite! Enlevez vos blouses blanches, cachez-les et filez par la porte de derrière avant qu'il ne vous mette la main dessus!

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Légende: "Tu vois, si mon père meurt, tu meurs aussi!" dit le jeune homme assimilé à un "Tank", "C'est clair" répond le médecin de "50 kilos" apeuré


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Le chanteur pakistanais Atif Aslam arrête son spectacle pour aider une fille harcelée

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Une jeune fille a eu la peur de sa vie en assistant au spectacle de l'artiste pakistanais Atif Aslam. Au premier rang, un groupe de garçons a commencé à être très insistant avec la spectatrice... Si bien qu'Aslam a dû s'arrêter en plein tour de chant pour la défendre.

En avertissant sévèrement les gars, la star a invité la femme à monter sur scène pour aller se réfugier dans les coulisses.




Sentez-vous l'énorme malaise dans la salle? Gageons que les jeunes hommes n'ont pas passé une très belle fin de spectacle!

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Pourquoi les colères de mon enfant me rendent si vulnérable

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Lorsque ma grande avait deux ans, j'ai eu une prise de conscience magistrale ! Elle faisait beaucoup de crises très spectaculaires, violentes et malgré mon énergie, ma volonté et tout mon amour, je n'arrivais jamais à revenir au calme sans rancune, comme si ma peine n'était qu'un puits sans fond, lors de ces moments chaotiques.

Un jour, elle m'a regardée dans les yeux en refusant de collaborer. Je croyais voir de l'insolence, de l'ingratitude et tellement de culot, de me confronter ainsi... Et j'ai compris, tout est devenu très limpide. Au fond, dans ses yeux je voyais la chance que je n'avais pas eue, je voyais sa liberté insouciante, je voyais son désir de s'exprimer et se détacher pour ÊTRE !!

Et moi, je n'étais plus une adulte, mais une petite fille qui criait à l'injustice, de ne pas avoir pu m'exprimer ainsi, de ne pas avoir pu dire sans craindre de baisser les yeux. Je lui en voulais de ne pas être reconnaissante de ce qu'elle avait et surtout, consciente de ce que je lui offrais. Je lui en voulais de ne pas considérer mes nombreux efforts pour faire différemment, pour lui permettre une enfance plus légère, plus égalitaire... Une éducation fondamentalement différente.

J'ai donc décidé de prendre soin de moi, de me donner beaucoup d'amour et de tendresse. J'ai aussi décidé de pardonner parce que ce qui m'a tant manqué n'a pas été fait exprès, mais c'était une autre époque, d'autres méthodes, et il y avait aussi des blessures enfouies que je ne connais pas.

En m'accordant cette indulgence, j'ai pu reprendre mon rôle d'adulte, et ne plus me sentir en concurrence directe avec ma si petite, petite amour innocente au cerveau neuf, spontanée et en apprentissage. Je lui ai redonné sa place, j'ai pu panser mes blessures en intervenant autrement et en continuant ma mission avec conviction : permettre à mes enfants d'être des enfants, de s'épanouir sans attente, d'être eux sans inquiétude.

Un jour, ils me reprocheront peut-être ce que je n'ai pas été ou ce que j'aurai du faire, mais j'y suis préparée j'aurai pour ma part donné le maximum pour ne pas leur transmettre mes propres blessures et leur avoir permis de tisser leur histoire personnelle, même si elle reste teintée par le trans-générationnel. Je suis imparfaite, mais ce qui me fait vibrer est de modifier ce qui m'a tant heurtée, et prolonger ce que j'ai tant aimé, transmettre.

Elle avait deux ans, et moi tout autant, cette journée où à son âge j'aurai été envoyée dans ma chambre pour réfléchir à ma mauvaise conduite. Mais lorsque je suis redevenue sa maman, mes angoisses, ma rancœur et mes peurs sont parties, car je savais que je pourrai à nouveau être un guide stable et solide, plutôt qu'une enfant blessée.

Et c'est alors que je n'ai plus jamais trouvé qu'elle avait plus de chance que moi, je me suis réjouis pour elle, je me suis alors dit qu'elle aurait ses propres défis à relever et que je serai toujours son alliée pour la guider !

Découvrez d'autres textes de Chloé Boehme sur son site web chloeboehme.com ainsi que sur sa page Facebook.

Ce blog a été initialement publié sur le HuffPost Québec

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Ce parfumeur de la médina de Tunis propose une senteur "tak tak" pour les "samedis soir"

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Quand Benoit Chamberland, globetrotter canadien, est arrivé en Tunisie et a fait le tour de la Médina, il ne s'attendait pas à trouver le marchand de parfum "le plus drôle de Tunis" comme il l'affirme.

Expliquant au globetrotter, comment faire du parfum, le vendeur énumère tous les parfums qu'il peut créer: "le jasmin, la fleur d'oranger, la rose, la bergamote... Chanel, Anaïs, Escada, Dolce Gabanna, Hugo Boss, Calvin Klein...Opium, mais ce n'est pas du hachich" indique le vendeur sur le ton de l'humour.

Poursuivant ce qu'il possède en rayon, le vendeur propose aussi une senteur aphrodisiaque: "On a aussi la fleur d'amour, pour le samedi soir, pour le Tak Tak, le Golo Golo, c'est de l'aphrodisiaque, du sex machine, du Bunga Bunga, la fleur de Berlusconi".

Quant au Jasmin, véritable institution en Tunisie, le vendeur présente son utilité: "Le symbole de la Tunisie, c'est le jasmin, pour faire de l'ambiance à la maison. Cela éloigne l'odeur des poissons et les moustiques, les frites-mayonnaise et le tabac", poursuit-il.

A l'image des vendeurs de la médina, ce parfumeur propose son produit avec un discours rodé, récité selon la langue du client. Un véritable humoriste qui a tout de même réussi à vendre son parfum.

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"Sed iam ad propositum redeamus": L'Homo civilis et la Révolution Tunisienne

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Depuis la chute de l'Ancien Régime, l'histoire de la Révolution Tunisienne a servi de récit des origines, pour la Tunisie postrévolutionnaire bien sûr, mais, plus généralement, pour toute une modernité politique marquée par l'horizon de l'émancipation révolutionnaire.

Aujourd'hui que les passions révolutionnaires se sont apparemment apaisées et qu'est remis en question notre rapport au progrès, à la sécularisation et au dialogue, les calculs partisans semblent avoir pris le relais et, de fait, retrouvent une actualité à la fois historiographique et politique. Dans le champ savant, les travaux se multiplient, témoignant d'un regain d'intérêt. Dans le débat public, une grande exposition à la ville de Paris présentait il y a peu la Révolution Tunisienne comme un "héritage pour demain", suscitant à la fois plaidoyers enflammés et critiques acerbes.

Sur ce point les historiens, les sociologues et les juristes sont loin de s'accorder tant la multiplicité des approches et des travaux existants semblent décourager tout tableau d'ensemble. À l'heure où les grands récits sont passés de mode, on ne peut qu'être frappé par l'écart entre la profusion des travaux historiographiques d'une part, offrant un paysage parcellisé et le discours essayiste, d'autre part, qui s'efforce d'actualiser les "lumières révolutionnaires" au gré des débats du jour.

Une telle situation pourrait paraître décourageante. Professeur Yadh Ben Achour n'a pas été découragé. Dans un travail colossal intitulé "Tunisie: une révolution en pays d'islam", publié fin 2016, il propose une relecture générale du fait révolutionnaire fondée sur la notion de "l'exception tunisienne".

La dimension monumentale de l'entreprise, ainsi que sa réception importante et très largement favorable, voire enthousiaste, en font un travail incontournable. À la fois synthèse encyclopédique et essai engagé, le travail du Professeur Ben Achour marque indubitablement une date dans l'historiographie de la Révolution tunisienne. D'autant que cette œuvre n'est pas un travail isolé, mais vient couronner et rendre ainsi plus visible un ensemble de travaux qui se donnent comme objectif de repenser la charge subversive du moment révolutionnaire. Ainsi le succès récent du vocable même de la "réussite tunisienne" paraît largement le signe d'un changement d'orientation, si ce n'est de paradigme. Alors que depuis quelques années, l'influence des travaux des sociologues avait imposé une lecture néokantienne de la Révolution, articulée sur le paradigme critique et l'étude de la sphère publique.

Néanmoins, ce label pose au moins autant de questions qu'il n'en résout. Ainsi, il nous amène à revisiter les causes de notre intérêt intellectuel au fait révolutionnaire en Tunisie. Derrière son apparente neutralité, la question posée implique une approche bien déterminée, qui elle-même en exclut une autre. Pour s'en apercevoir, il n'est pas de meilleur moyen que de se demander quelle autre formulation aurait pu être donnée à la question, et quelles eurent été les conséquences d'une telle tournure alternative. Cette autre formulation aurait pu être: Pourquoi intéressons-nous aux événements qui se situent entre le 17 décembre 2010 et le 14 janvier 2011?

La question, telle que posée ici, appelle donc prescription et non pas constat, prise de position raisonnée plutôt qu'observation. En cela, cette question est elle-même une prise de position, puisqu'elle revient à postuler que notre agir peut être déterminé sur la base de notre réflexion, peut être la conséquence du choix rationnel opéré entre différentes possibilités; au rebours d'une analyse qui considèrerait que nous sommes bien plutôt agis par des déterminations sociologiques, et que cet être-agi n'est jamais aussi sensible que lorsqu'il s'exerce au travers de l'idéologie qui informe notre réflexion.

Ce qui oppose ces deux approches n'étant pas nécessairement le but qu'elles se proposent mais la manière dont elles cherchent à l'atteindre, puisque la seconde de ces approches ne doit nullement être nécessairement confondue avec un abandon de soi aux déterminations sociologiques qui s'exercent sur nous, mais peut bien au contraire être comprise comme le moyen absolument nécessaire pour se rendre capable d'identifier ces déterminations afin de mieux pouvoir en contrôler les effets. Tandis que la première approche, pour postuler haut et fort notre autonomie, serait par contre incapable de la réaliser dans la mesure où elle ignorerait le risque que l'exercice de notre "raison" ne soit en fait que la rationalisation a posteriori, le masque idéologique, de logiques sociales dont la nécessité de la reproduction s'impose à nous.

Ainsi, il semble que ces deux approches, bien plus qu'opposées, sont nécessairement complémentaires, et que, si à vouloir à tout prix choisir l'une au détriment de l'autre on les condamne toutes deux à l'échec, par contre leur exercice lié est lui susceptible, et est seul susceptible, de nous redonner la maîtrise de notre agir, ou du moins une certaine maîtrise de notre agir.

En effet, si l'analyse des déterminations sociologiques qui s'exercent à notre encontre est le seul moyen pour nous d'éviter d'être agis par l'idéologie qui informe notre pensée, par contre en rester à ce simple stade de l'observation du fait révolutionnaire, et du détachement de soi par rapport au moment fondateur de la deuxième République, revient à n'adopter qu'une posture strictement subjectives, de déconstruction, sans donc se donner la capacité de remplacer l'idéologie que l'on s'est ainsi rendu capable de mettre à bas, par un ensemble rationnel d'idées librement construites. Or déconstruire ne suffit jamais pour comprendre.

Ainsi donc, quelque réticence que puisse avoir, à l'égard de l'exercice pur, normatif, de la réflexion, une pensée formée à l'analyse du conditionnement social par l'idéologie, tant elle sait combien cet exercice n'est souvent qu'une illusion dont l'idéologie tire toute sa force, il n'en reste pas moins qu'il est inévitable de finir par prendre le risque d'un tel exercice, si véritablement l'on veut pouvoir dépasser notre aliénation par l'idéologie même s'il convient de toujours rester bien conscients que cet exercice risque de nous faire relaps.

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11 clés pour comprendre le fonctionnement de votre pensée

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En 1981, le prix Nobel de Médecine fut décerné au neurophysiologiste Roger W. Sperry. Il récompensa ses travaux sur l'asymétrie cérébrale.

En France, le Docteur en psychologie, Béatrice Millêtre, a récemment contribué à démocratiser ces travaux.

L'hémisphère gauche serait spécialisé dans le traitement des mots et du langage, des nombres, des connaissances et du raisonnement. La perception de l'environnement du cerveau gauche serait analytique, fondée sur la rationalisation. La plupart des êtres humains mobilise cet hémisphère dans l'élaboration de leur pensée, qui est alors dite "séquentielle" (elle traite les éléments d'un problème les uns après les autres, de manière linéaire, jusqu'à sa résolution).

A l'hémisphère droit correspondrait un mode de fonctionnement plus intuitif. S'y rattachent notamment les émotions, les impressions mentales, l'assimilation de l'expérience, la capacité d'abstraction, la perception visuo-spatiale et l'analyse complexe. La pensée qui s'y fonde est qualifiée de globale, traitant simultanément et en parallèle un ensemble de détails qui entrent en résonnance, chaque élément devenant un nouveau tout dont les parties seront également analysées pour aboutir à une solution instinctive.

La société s'est naturellement érigée sur le mode de pensée séquentielle, le plus représenté. Les personnes dont l'appréhension du monde est fondée sur l'hémisphère droit représentent une minorité. Nombre d'entre elles peuvent ainsi se sentir inadaptées, limitées voire en souffrance, dans un monde qui reconnaît scientifiquement cette structuration cognitive et neurophysiologique depuis moins de vingt-cinq ans.

Il existe de nombreuses solutions pour rendre à la pensée globale ses prodigieuses capacités d'analyses et d'innovation tout en s'adaptant à la pensée séquentielle, mais encore faut-il d'abord pouvoir l'identifier.

1 - Une intuition remarquable

L'"intuition" désigne le procès par lequel vous traitez l'intégralité des paramètres et détails d'une situation générale sans vous en apercevoir consciemment. Rien ne vous échappe et il arrive fréquemment que vous "fixiez" une chose que personne d'autre n'avait remarqué, par exemple dans la scène d'un film ou dans une conversation.

2 - Une extraordinaire capacité de raisonnement

Vous pouvez résoudre des problèmes ardus sans même avoir l'impression de réfléchir (c'est quand on vous demande d'y réfléchir consciemment que les choses deviennent plus difficiles). Votre force créative semble sans limite lorsqu'elle s'exprime librement.La pensée globale implique généralement un haut potentiel intellectuel.

3 - Une forte sensibilité sensorielle, surtout visuelle et auditive

Le tapotement d'une goutte d'eau dans un évier auquel personne ne prête attention vous agace. Un parfum vous donne envie de quitter une salle d'attente. L'hyperesthésie est nécessaire à l'hémisphère droit pour l'intégration de tous les signaux extérieurs qu'il traitera dans la pensée globale. Cette hypersensibilité se retrouve par ailleurs sur le plan émotionnel, vous percevez les affects de l'autre, déconstruisez intuitivement les masques que l'on vous oppose...

4 - Une pensée rapide

L'influx nerveux est plus rapide que pour l'hémisphère gauche. Vous ne savez pas suspendre le cours de vos pensées, chacune ramenant à une autre, vous en êtes parfois même épuisé ! Dans une discussion, vous devancez les conclusions et vous ennuyez rapidement. Si vous les verbalisez, vous avez du mal à expliquer le cheminement de votre pensée car elle en a traité tous les détails de manière subliminale. Béatrice Millêtre évoque des "évidences difficiles à détailler mais souvent vraies a posteriori".

5 - Des difficultés d'organisation

Il vous est difficile de faire un plan, de structurer vos idées puisque chacune de vos sous-parties à tendance à devenir un sujet à part entière. Vos meilleures performances orales furent celles où vous suiviez votre intuition après avoir griffonné quelques notes. Vous avez d'ailleurs besoin de faire plusieurs choses à la fois sinon vous devenez moins efficace.

6 - Une pensée en réseau

Vous avez un profond besoin de comprendre tout ce qui vous entoure, le réel auquel vous vous confrontez, et on parle de pensée arborescente car il s'agit d'explorer chaque "branche" d'un système de connaissance, chacune vous renvoyant à une autre, impliquant de nouvelles recherches ou associations mentales. Vous n'avez pas une unique passion mais vous intéressez à tout. Vous aimez nourrir cette pensée, vous lisez beaucoup et disposez d'un vocabulaire très riche.

7 - Un mal-être

Même s'il vous est difficile d'en définir l'exacte nature, vous ressentez un certain malaise "diffus, chronique et déstabilisant" écrit Millêtre. Vous avez tendance à trouver les conversations des autres insignifiantes, vous doutez de votre intelligence car certaines actions "faciles" pour les autres vous coûtent de nombreux efforts, vous oscillez entre fantasme d'omnipuissance et le découragement avec l'impression de ne rien entreprendre ou de ne rien achever de ce que vous commencez.

8 - De complexes relations aux autres

Votre façon de réfléchir, extrêmement féconde mais singulière, vous a parfois conduit à subir des jugements injustes. Vous avez besoin de solitude pour vous livrer à de riches associations d'idées mais vous pouvez souffrir parfois de ces étiquettes... D'autant que vous ne comprenez pas toujours ceux qui vous les apposent ! Cependant, avide de découvertes et de transmission vous aimez être entouré et vos amis et relations vous rendent cette affection pour la particularité de votre regard sur l'homme, sur le monde.

9 - D'excellentes capacités mémorielles

Votre capacité à tisser continument des liens entre les événements, les personnes, les concepts, renforce votre mémoire et augmente à l'infini son "espace de stockage". Chaque détail de votre environnement ancre de nouvelles connaissances et mobilise les anciennes.

10 - Une motivation relative

Lorsqu'un sujet vous plaît, vous pouvez le creuser sans jamais vous arrêter, en explorer toutes les facettes. Dans le cas contraire, l'effort pour l'investir vous paraîtra insurmontable.

11 - Vous ne comprenez pas toujours les blagues des autres

On dit de votre humour qu'il est caustique mais c'est surtout la différence dans le traitement de l'information que vous recevez qui détermine la particularité de votre humour.

Les personnes sachant mobiliser leur cerveau droit peuvent soulever des montagnes et brillent par leur imagination, leurs capacités d'élaboration ou encore leur intuition. Il existe de nombreux moyens pour mettre à profit cette richesse cognitive. Certains sites internet peuvent à ce titre vous y aider, par exemple celui-ci ou celui-là.

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Tunisie- L'UTICA, 70 ans d'existence: Bouchamaoui revient sur les derniers engrenages et prises de positions

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Aujourd’hui, mardi 17 janvier 2017, l’Union tunisienne de l'industrie, du commerce et de l'artisanat (UTICA) célèbre son 70ème anniversaire.
Invitée dans la matinale d’Express Fm, la présidente de l’UTICA, Wided Bouchamaoui, a passé en revue le rôle et les principaux indicateurs de l’organisation patronale.

“Nous avons senti que nous étions écoutés lors de l’élaboration du Code d’investissement”

Le secteur privé fournit près de 60% de postes d’emploi, a annoncé Bouchamaoui en ajoutant que 78% des exportations émanent du privé.
“Le secteur privé représente 60% des investissements dans le pays,” a-t-elle précisé en soulignant son rôle primordial dans la création d’emploi et le renforcement de l’économie nationale.
“Malgré certaines réserves, la version adoptée du Code d’Investissement est de loin meilleure que la version initiale,” a-t-elle indiqué en notant qu’un bon nombre de propositions a été pris en considération. “Espérons que ça sera le cas pour le Code d'incitation aux investissements,” a-t-elle lancé.

La loi de Finances 2017: “on pourrait faire beaucoup mieux”

Bouchamaoui est revenu par ailleurs aux différends relatifs à la loi de finances 2017. Elle a indiqué que l’organisation patronale s’est retrouvée dans une situation critique, prise entre le marteau et l’enclume. Elle a estimé que l'imposition d'une contribution conjoncturelle exceptionnelle de 7,5% sur les bénéfices des sociétés serait une décision lourde de conséquences. “Mais je respecte cette mesure adoptée par le parlement. C’est la démocratie,”a-t-elle noté en affichant son inquiétude quant à son impact au cours des prochains mois notamment sur les entreprises exportatrices.

LIRE AUSSI:


La présidente de l’UTICA a révélé certaines lacunes en appelant à la nécessité d’adopter, dans la prochaine version, des mesures plus pertinentes notamment en matière d’exportation.
Elle a assuré, par ailleurs, que l'UTICA est la partie qui souffre le plus des nouvelles taxes et des nouvelles impositions, tout en insistant sur la conscience des investisseurs tunisiens des besoins du pays et de leur devoir de l'aider.

“Notre position est ferme quant à l’évasion fiscale et la contrebande”

La présidente de l’organisation patronale a indiqué que l’UTICA ne tolère pas l’évasion fiscale et la contrebande tout en signalant que cette dernière n’est pas un agent fiscal pour poursuivre les fraudeurs. “C’est à l’Etat de s’en occuper,”a-t-elle précisé.
Elle a indiqué que l’UTICA appelle à respecter la loi et payer les impôts.
Bouchamaoui a insisté, d’autre part, sur l’importance d’encourager les jeunes à investir et de soutenir les initiatives privées.

LIRE AUSSI:: État des lieux de la corruption en Tunisie


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Les 12 priorités de Theresa May sur le Brexit: Une main de fer dans un gant de velours

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INTERNATIONAL - Après plusieurs mois d'attente et d'incertitudes, la première ministre britannique Theresa May a dévoilé ce mardi 17 janvier les grandes lignes de sa stratégie sur le Brexit.

"Nous quittons l'Union européenne, pas l'Europe", a déclaré Theresa May. Sur le fond, c'est bien la version "hard" du Brexit qui est au menu, avec sortie du marché unique, réappropriation totale du pouvoir législatif, et contrôle des frontières et l'immigration.

Mais la Première ministre a tout fait pour lui donner un visage ouvert, insistant sur l'ouverture au commerce international, aux talents du monde entier. Quitter l'UE pour devenir plus global, plus international, tout en assumant l'héritage de son adhésion. "Le corpus législatif de l'UE sera intégré dans les lois du Royaume-Uni", a-t-elle précisé.

"Nous ne voulons pas d'un délitement de l'UE", a ajouté Theresa May. Le vote des Britanniques pour quitter l'Union ne "constitue pas un rejet des valeurs que nous partageons (...) ce n'était pas pas une tentative de faire du mal à l'UE", a-t-elle souligné.




"Le gouvernement soumettra l'accord final à un vote des deux chambres du Parlement", a déclaré la première ministre en présentant sa stratégie, qu'elle doit déclencher d'ici fin mars.

La sortie du marché unique

Le Brexit signifiera la sortie du Royaume-Uni du marché unique, a affirmé la Première ministre britannique Theresa May. "Ce que je propose ne peut pas signifier une appartenance au marché unique", qui nous empêcherait de négocier "nos propres accords commerciaux", a-t-elle déclaré.




Mise en place d'un accord douanier

"Je ne veux pas que le Royaume-Uni soit membre de la politique commerciale commune (de l'UE) et je ne veux pas que nous soyons liés aux tarifs extérieurs communs, ce sont des éléments de l'union douanière qui nous empêcheraient de conclure nos propres accords commerciaux avec d'autres pays. Mais je veux que nous ayons un accord douanier avec l'UE", a-t-elle souligné.

"Je ne veux pas que le Royaume-Uni soit membre de la politique commerciale commune (de l'UE) et je ne veux pas que nous soyons liés aux tarifs extérieurs communs, ce sont des éléments de l'union douanière qui nous empêcheraient de conclure nos propres accords commerciaux avec d'autres pays. Mais je veux que nous ayons un accord douanier avec l'UE", a-t-elle souligné.

"Que ce soit un accord douanier complètement nouveau, que nous devenions membre associé de l'union douanière d'une certaine manière, ou que nous restions signataires de certains de ses aspects, je n'ai pas d'a priori", a précisé Mme May.

Elle a assuré avoir "un esprit ouvert" à ce sujet, ajoutant que l'objectif était "d'enlever autant de barrières que possible au commerce". Elle a souligné qu'elle voudrait conclure "un accord de libre-échange large et ambitieux avec l'Union européenne" qui lui permettrait d'avoir le meilleur accès possible au marché unique européen que le Royaume-Uni va quitter.

"Je veux que le Royaume-Uni soit en capacité de fixer son propre objectif tarifaire à l'OMC, ce qui signifie que nous pourrions conclure des accords de libre-échange non seulement avec l'UE mais aussi avec nos amis et alliés hors d'Europe", a ajouté la Première ministre.

Maintenir l'Espace Commun de Voyage avec l'Irlande

Rassurant les Irlandais, Theresa May a assuré le maintien de l'Espace Commun de Voyage ("Common Travel Area") entre l'Irlande et la Grande-Bretagne. Cette zone, mise en place en 1920, permet aux citoyens des deux îles de voyager de l'une à l'autre sans contrôle de passeports. "Personne ne veut retourner aux frontières du passé", a déclaré Theresa May, qui a assuré qu'elle travaillerait à trouver une "solution pratique, aussi vite que possible."

Quitter la cour Européenne de Justice

Au-delà des mesures économiques, Theresa May a également acté la rupture juridique avec les institutions européennes.




Reprendre le contrôle sur l'immigration

Le sujet de l'immigration, particulièrement sensible, a rapidement été abordé par la première ministre qui confirme que le Royaume-Uni contrôlera désormais l'immigration européenne sur son territoire: "Le Brexit doit signifier le contrôle du nombre de personnes qui viennent de l'Europe à l'Angleterre".




L'intégrité du Royaume-Uni

Alors que l'Ecosse menace depuis la victoire du Brexit de mener son propre référendum, Theresa May a (légèrement haussé le ton), rappelant que "une nation britannique plus forte nécessite que nous renforcions les liens entre les quatre pays qui composent le Royaume-Uni".

Rassurer les citoyens européens et britanniques
Ce discours, qui s'est voulu rassurant, devait parler tant aux marchés qu'aux citoyens. Theresa may s'est donc adressée aux Britanniques résidents européens comme aux Européens actuellement au Royaume-Uni, assurant que leurs droits seraient respectés et "garantis". "Vous serez toujours les bienvenus dans ce pays, comme nous espérons que nos citoyens resteront les bienvenus chez vous", a-t-elle déclaré.

Maintien de la collaboration scientifique

La première ministre, qui souhaite que la Grande-Bretagne reste "tournée vers le futur" s'est prononcé en faveur de la poursuite des partenariats scientifiques avec les autres pays européens, sur les questions de recherches et d'initiatives technologiques.

Coopération dans la lutte contre le terrorisme

"Chacun de nous en Europe est confronté aux problèmes de la criminalité transfrontalière, de la menace terroriste et des dangers que représentent les Etats hostiles", a affirmé Theresa May. Elle a donc indiqué que son pays continuera à coopérer avec les autres membres de l'UE sur ces questions.

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"Beauty en Top": Le projet renversant de cette étudiante égyptienne qui donne une nouvelle couleur à sa ville

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Pour un projet dans le cadre de ses études, Reem El Shabrawy, étudiante égyptienne en 3ème année d'Arts Appliqués a décidé d'embellir le Caire à sa manière.

"Beauty on Top" est la renversante manière de feuilleter des pages qui montre les discordances entre la réalité et les chimères du peuple égyptien.

Une petite fille habillée en princesse, de belles images d'une ville propre et en couleur et un superman à la recherche de ses protégés, les pages colorées du livre cachent une réalité morbide, ce ne sont que des songes et la réalité est toute autre: le dur labeur et le quotidien épineux des classes défavorisées viennent renverser la situation à chaque tournure.

Les pages défilent et les images alternent entre espoir et tourments, du clair-obscur en toute beauté que vous pouvez visionner sur la vidéo en tête d'article.

Invitée sur le plateau d'une émission sur MBC Masr, Reem explique: "L'idée m'était venue alors que je me promenais en ville, j'ai vu un vieux bâtiment, défraîchi, et j'ai voulu lui donner des couleurs."

Et de continuer "On devait réaliser un projet qui parle du Caire, et tout le monde avait des idées que j'ai trouvées négatives, qui montraient une image négative de la ville, j'ai décidé de propager un peu de positivité."

C'est là que l'idée du livre lui a traversé l'esprit. Elle a alors choisi des photos parlantes, le vieil immeuble, une petite fille au milieu du désert, un ouvrier souriant, bien que la fatigue se dessine sur ses traits, etc. et à l'aide d'un papier transparent qu'elle a transposé sur les images, elle a ajouté une touche de bonheur, comme pour réaliser les rêves de ceux qui le méritent.

Dans une deuxième version, Reem apporte quelques modifications à son livre, le rendant ainsi comme un agenda, où les gens peuvent inscrire leurs pensées positives ou leurs projets et leurs rêves. Elle y ajoute aussi de nouvelles images en plus des 12 de la première version:



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A l'approche des élections de la centrale syndicale: Kacem Afaya joue le tout pour le tout

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Candidat pour le secrétariat de l’Union générale tunisienne du travail (UGTT) sur une liste concurrente à celle de Noureddine Taboubi, qui dispose d’une liste consensuelle en vue des prochaines élections de la centrale syndicale – le syndicaliste Kacem Afaya était l’invité de la matinale de Shems FM ce matin.

Interrogé sur les raisons qui l’ont amené à se présenter sur une autre liste que celle qui rassemble tous les dirigeants du bureau exécutif actuel, Kacem Afya a tout d’abord expliqué que ce choix ne représente pas un choix infondé mais une manière de batailler pour un projet syndical qui vise toutes les sections de l’UGTT dans toutes les régions. Un projet qui préserverait la centrale syndicale en sa qualité de "ceinture de sécurité" de tout un pays où les partis politiques sont en train de présenter un rendement des plus médiocres, selon le concerné.

Kacem Afaya a évoqué des problèmes de communication entre les membres du même bureau exécutif, comprendre donc celui de Houcine Abassi, qui l’ont dérangé au cours de ces quatre dernières années. Pour le candidat, le temps est venu pour l’UGTT de changer quelques-unes de ses méthodes afin d’aller de l’avant et de pouvoir faire face à tous ses rôles majeurs.

Par ailleurs, Kacem Afaya a dénoncé certaines parties étrangères à l’UGTT qui tentent, à l’approche du congrès électif, de se mêler des affaires internes de la centrale ce qui aggrave, selon lui, la situation interne de l’organisation.

Revenant sur les attaques qui ont visé, en décembre 2012, le siège central de l’UGTT, Kacem Afaya a déclaré que des syndicalistes sont impliqués dans lesdits événements et dans l’agression dont a été victime Houcine Abassi à la place de Mohamed Ali. Et d’ajouter qu’au vu de leur poste au sein de l’UGTT, aucun de ces individus n’a été inquiété.

Revenant à ses actuels collègues et prochains rivaux – les membres actuels du bureau exécutif qui sont eux-mêmes sur la liste consensuelle de Noureddine Taboubi – Kacem Afaya a expliqué que la principale divergence entre les deux parties réside en l’évaluation de la situation du bilan du bureau de Houcine Abassi.

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Manuel Valls giflé lors d'un déplacement en Bretagne

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PRIMAIRE DE LA GAUCHE - L'incident est sans conséquence mais il a frappé les esprits. En déplacement en Bretagne chez son soutien Jean-Yves Le Drian, Manuel Valls est arrivé en milieu d'après-midi à Lamballe. C'est en sortant de la mairie qu'un homme lui a donné un coup au visage, selon plusieurs journalistes présents sur place et France Bleu Armorique.

L'agresseur, non identifié, a été immédiatement plaqué et immobilisé par le service de sécurité qui accompagne le candidat à la primaire. Selon la vidéo tournée par Le Télégramme, Manuel Valls n'a pas été blessé.

Le ministre de la Défense et président de la région Bretagne, Jean-Yves Le Drian, qui accompagnait le candidat, a aussitôt demandé à Manuel Valls: "Ça va, Manuel?", avant de s'engouffrer avec lui dans leur voiture stationnée à quelques mètres de là.

Après la fronde des Bonnets rouges et surtout les violentes manifestations anti-loi Travail, la Bretagne est un lieu de déplacement délicat pour Manuel Valls. Un meeting à Rennes programmé ce lundi 16 janvier a finalement été reporté à l'entre-deux-tours de la primaire, officiellement pour des soucis d'agenda du ministre de la Défense Jean-Yves Le Drian.

Réagissant à l'incident, Manuel Valls a estimé qu'un "individu qui frappe un responsable politique est un acte grave". "Il y a ceux qui contestent la démocratie et ceux qui incarnent la démocratie", a-t-il plaidé en se disant "courageux, non pas physiquement mais parce que je dis la vérité".




Remis à la gendarmerie de Lamballe par le service de sécurité qui entourait l'ancien Premier ministre, le jeune agresseur a été placé en garde à vue, a-t-on appris auprès du parquet de Saint-Brieuc.

Certains responsables politiques lui ont adressé un message de soutien.










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Grande-Bretagne: Un rapport avait pointé des failles avant l'attentat de Sousse

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Un rapport remis début 2015 au gouvernement britannique avait pointé des failles dans la sécurité autour des hôtels de Sousse, en Tunisie, a affirmé mardi à Londres un avocat de familles de victimes de l'attentat commis six mois plus tard.

L'attaque, revendiquée par l'organisation jihadiste Etat islamique (EI), avait fait 38 morts dont 30 Britanniques et trois ressortissants irlandais dans un hôtel de cette station balnéaire de l'est de la Tunisie.

Lors d'une audience devant la Cour royale de justice de Londres, Andrew Richie, avocat de 20 familles de victimes, a souligné qu'un rapport tunisien, remis au gouvernement britannique avant l'attentat perpétré le 26 juin 2015, avait pointé des failles dans la sécurité autour des hôtels de Sousse.

Ce rapport avait été rédigé après une attaque-suicide fin 2013 sur la plage d'un hôtel de la ville, qui n'avait fait que son auteur comme victime.

"Etant donné que l'attaque d'octobre 2013 contre le Riadh Palm Hotel avait été lancée depuis la plage, une attention particulière était portée aux points d'accès par la plage", a expliqué mardi M. Richie.

Le rapport remis à Londres - s'intéressant à une trentaine d'établissements de la ville - "indiquait que 'malgré certaines mesures de sécurité satisfaisantes autour des hôtels et complexes touristiques, peu de choses semblent faites pour empêcher ou parer à des attaques (depuis la plage)' ", a poursuivi l'avocat.

Lundi, une autre avocate a accusé les forces de sécurité tunisiennes d'avoir tardé à intervenir lors de l'attaque du 26 juin 2015, au démarrage d'une enquête publique destinée à établir les conditions de cette attaque terroriste et prévue pour durer plusieurs semaines.

Son auteur, un étudiant tunisien armé d'une Kalachnikov, avait abattu une dizaine de personnes sur la plage de l'Imperial Marhaba avant de pénétrer dans l'hôtel cinq étoiles.

"Les unités qui auraient dû intervenir (...) ont délibérément, et de manière injustifiable, ralenti l'allure afin de retarder leur arrivée à
l'hôtel", a déclaré l'avocate Samantha Leek, s'appuyant sur les conclusion d'un rapport du juge tunisien Lazhar Akremi.

"Elles avaient la possibilité de mettre fin à l'attaque avant que la police n'arrive sur place mais elles ont perdu un temps considérable pour se rendre à l'hôtel", a-t-elle ajouté.

Depuis sa révolution en 2011, la Tunisie a connu l'essor d'une mouvance jihadiste responsable de la mort de plus d'une centaine de soldats et de policiers, mais aussi d'une vingtaine de civils et de 59 touristes étrangers, selon des chiffres officiels.

La Tunisie compte quelque 3.000 ressortissants dans les rangs d'organisations jihadistes, selon les autorités, jusqu'à 5.500 d'après un groupe de travail de l'ONU.

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Renouvellement du tiers des membres de l'ISIE: Mohamed Mansri élu dans la catégorie des avocats

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L'avocat Mohamed Tlili Ben Mokhtar Mansri, de la catégorie des avocats a recueilli 154 voix sur 167, mardi, en plénière, consacrée au renouvellement du tiers des membres de l'Instance supérieure indépendante des élections (ISIE).

Un candidat doit obtenir, selon la loi, les voix des deux tiers des membres de l'Assemblée des représentants du peuple, soit au moins 143 voix.

L'élection des deux autres membres de l'ISIE dans les catégories des chargés de communication et des représentants des Tunisiens à l'étranger sera effectuée, mercredi, en plénière.

Dans la catégorie des représentants des Tunisiens à l'étranger figurent les candidats Hédi Kraiem, Mohamed Krir, Nadia Othmani, Nabil Elaziz, Dhaou Moussa, Adel Dadi, Abdelkrim Rezgui et Ezzedine Ben Hamida.

La catégorie des chargés de communication, quant à elle, regroupe Youssra Sghaier, Lasaâd Ben Ahmed, Yassine Garrib et Adel Brinsi.

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L'ARP rejette la proposition de former une commission d'enquête sur une suspicion de corruption au sein de l'IVD

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La proposition relative à la formation d’une commission d’enquête sur des suspicions de corruption touchant la présidente de l’instance vérité et dignité (IVD), Sihem Ben Sedrine, a été rejetée mardi, en plénière.

Quatre vingt deux députés ont voté pour la formation de la commission, contre 80 oppositions et deux abstentions.

L’article 95 du règlement intérieur stipule que l’Assemblée adopte la décision de créer ces commissions à la majorité de ses membres présents, pourvu que ce nombre ne soit pas inférieur au tiers (1/3).

Afin que la proposition puisse passer il fallait que pas moins de 83 députés votent en sa faveur sur les 163 parlementaires présents à la plénière de ce mardi, présidée par le vice-président de l’ARP Abdelfattah Mourou.

A noter que la présidente de l’IVD avait adressé, le 10 janvier en cours, une correspondance officielle à la Cour des comptes, pour réclamer un audit sur la gestion financière de ses comptes pour l’exercice 2015.

Pendant la plénière consacrée à l’examen du budget de l’IVD pour 2017, plusieurs députés avaient proposé la formation d’une commission parlementaire d’enquête sur une suspicion de corruption financière et administrative au sein de l’IVD.

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4 situations où il faut savoir dire "oui" au bureau

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Régulièrement on nous apprend à oser dire "non". Savoir dire non à un dossier en plus, non à un service, non à une réunion qui vient de s'organiser ou à de nouvelles responsabilités. Les raisons sont multiples: se protéger d'un possible surmenage, bien mener les tâches dont on a la charge, respecter ses priorités, ne pas bouleverser son équilibre de vie... Si les raisons du refus peuvent être parfaitement entendues et respectées, il ne faut pas oublier que dire "oui" est aussi le moyen le plus direct d'enrichir sa carrière donc son expérience, de retrouver sa motivation ou d'élargir son champ d'actions. Cela n'est pas forcément simple et il est normal d'appréhender la nouveauté, les challenges. Voici quelques situations où répondre "oui" pourrait être plus que bénéfique à votre épanouissement professionnel.

Dire oui à la nouveauté

Quoi de pire qu'un emploi où l'on a l'impression de revivre chaque jour la même journée? Pour une vie professionnelle épanouissante, pensez à répondre "oui" lorsque vous avez une proposition qui modifie votre quotidien. Chaque changement vous enrichit personnellement et aux yeux des recruteurs. Par exemple, changer d'équipe vous confrontera à de nouvelles façons de travailler et vous apprendra à composer avec des caractères et des personnalités différentes, bref à travailler votre adaptabilité, qualité à valoriser lorsque vous chercherez un emploi. De la même manière, si l'on vous propose un poste auquel vous n'aspiriez pas nécessairement mais avec des responsabilités supplémentaires ou encore une mission inattendue à l'étranger, prenez le temps de définir si cette proposition peut être bénéfique pour votre carrière et votre épanouissement et cela, même si elle sort du schéma que vous vous étiez tracé.

Dire oui aux conseils

Au bureau, on peut être gêné de dire oui à un collègue ou un manager qui nous propose son aide. Pourtant, lorsque l'on a des doutes ou que l'on n'est pas sûr de la bonne marche à suivre, accepter les conseils d'autrui est au-delà de la nécessité, une démarche enrichissante. À n'importe quelle étape de notre carrière, que l'on soit junior ou expérimenté, on peut et surtout on a le droit de ne pas savoir. On continue d'apprendre tout au long de sa vie professionnelle et il est important de savoir s'entourer de personnes qui auront une influence positive et qui sauront faire des remarques et des critiques constructives.

Dire oui aux challenges

On ne le répète jamais assez, pour développer ses compétences et son employabilité, rien de mieux que de sortir de sa zone de confort! Il est normal que les nouveaux défis et challenges professionnels soient anxiogènes, on peut craindre de ne pas être à la hauteur, de ne pas avoir les atouts ou l'expérience nécessaire. Mais il est important de garder en tête que si l'on a pensé à vous pour ce dossier complexe ou ce délai hyper-serré, c'est avant tout parce que vous en êtes tout à fait capable. Alors si votre manager vous fait une proposition, pesez bien les pour et les contre et demandez-vous si cela peut être bon pour votre carrière. Si tel est le cas, n'hésitez pas et foncez, l'occasion ne se présentera peut-être pas deux fois.

En conclusion : soyez ambitieux!

Il n'est bien entendu pas question de dire oui à tout, cela dépend de vos envies, de vos besoins et de votre situation personnelle. Il faut clarifier dès le départ ce que l'on est prêt à accepter ou non. Mais il est important de ne pas se brider dans sa vie professionnelle par peur ou par manque de confiance en soi. Suivez votre intuition et votre instinct, et voyez toujours plus loin. Dire "oui" permet d'être dans une dynamique positive et de réaliser des projets qui semblaient inatteignables quelques années plus tôt.

Ce blog a été initialement publié sur le Huffington Post France

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Cette maman a une technique de ninja pour éviter de réveiller son fils

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INSOLITE - Endormir son bébé et espérer qu'il ne se réveillera pas dans la minute qui suit: voilà le challenge quotidien des parents de nourrissons. Et certains l'affrontent avec plus d'ingéniosité que d'autres. Une maman sud-africaine a carrément des techniques de ninja pour éviter que son fils ne s'éveille.

Filmée par les caméras disposées dans la chambre de son bébé, elle rampe sur le dos pour s'extirper de la pièce sans que son enfant ne s'en rende compte, comme vous pouvez le voir dans la vidéo ci-dessus. La séquence, publiée le 14 janvier sur Facebook par son mari, est devenue virale en quelques jours: elle a été vue plus d'1,6 million de fois, suscitant l'hilarité des internautes.

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La Tunisie au Forum de Davos: La question libyenne à l'ordre du jour

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Le coup d’envoi des travaux du Forum annuel de Davos a été donné hier. La 47ème édition du forum qui se poursuivra jusqu’au 20 du mois courant regroupe le gotha du monde des affaires.

Plus de 70 pays, 3000 personnalités politiques, économiques et représentants d’organisations internationales dont 1200 grands patrons prennent part à l’événement. La revitalisation de l’économie internationale, la réforme du capitalisme, le réexamen de la coopération internationale et la préparation d’une quatrième révolution industrielle, sont les principaux thèmes retenus cette année au forum. Parmi les 400 sessions prévues cette année pour animer les débats, la moitié sera réservée à l'inclusion sociale et le développement.

Une session particulière est prévue cette année au programme. Il s’agit du "Shaping Davos" qui réunira des dirigeants avec des jeunes venus de 20 villes du monde pour répondre aux préoccupations de la génération du millénaire. 30 ateliers seront consacrés à la recherche de solutions à même de faire face aux crises humanitaires.

La Chine est à l’honneur

Les travaux de la première journée du forum tenus hier ont été ouverts par le Président chinois Xi Jinping qui enregistre sa première participation au forum de Davos. Il a tenu à défendre la mondialisation et a mis en garde contre les risques de faire de la mondialisation un bouc émissaire pour tous les maux économiques du monde.

La révolution numérique et les signes d’une 4ème révolution industrielle

La transmutation numérique et comment poser les jalons d’une quatrième révolution industrielle a été également au centre des discussions. Comment se préparer à l’ère du numérique, à l’automatisation et à l’intelligence artificielle? Telle est la problématique posée en marge du forum.

La première journée a été également l’occasion de discuter des résultats du dernier rapport publié par OXFAM. Ce dernier révèle que, dans le monde, huit hommes possèdent autant de richesse que la moitié de l'humanité. Un chiffre alarmant qui dénote de l’élargissement du fossé entre les pauvres et les milliardaires. Winnie Byanyima, le directeur exécutif de Oxfam a appelé à juste titre à conjuguer les efforts pour réparer un système brisé.

Pour sa part, Joseph Stiglitz, le Nobel d’Economie et le professeur de l'Université Columbia a proposé de dire adieu au dollar. Il a fait savoir que la dématérialisation des monnaies comme le dollar en faveur d'une économie purement numérique permettrait de réduire la corruption.

La diplomatie économique tunisienne au rendez-vous

Les travaux du forum se poursuivront aujourd’hui et jusqu’à ce vendredi en Suisse.

Selon un communiqué de la présidence du gouvernement tunisien publié hier, Youssef Chahed conduit une délégation officielle tunisienne à laquelle participeront, notamment, Fadhel Abdelkefi, ministre du Développement, de l’investissement et de la coopération internationale et Hela Cheikhrouhou, ministre de l’Énergie, des mines et des énergies renouvelables. Des entretiens sont prévus avec les Chefs des Etats et de gouvernement présents dont les pays du G20. Youssef Chahed participera à un panel ayant pour thème: "Les perspectives des économies arabes".

La participation tunisienne est voulue comme une opportunité pour promouvoir la transition économique et démocratique tunisienne et pour mobiliser le financement nécessaire à la reconstruction d’une économie au ralenti. Après la conférence d’investissement Tunisia 2020, le gouvernement poursuit son coup marketing.

Davos offre une nouvelle occasion pour stimuler le site d’investissement tunisien et surtout pour regagner la confiance des décideurs internationaux et essayer de tirer profit de ce capital sympathie déclaré envers la Tunisie.

Toutefois, le cadre institutionnel et légal ne suit toujours et, pour certains observateurs, il se trouve que le plan de développement quinquennal élaboré par le gouvernement Essid, la charte de base pour toute négociation bilatérale ou multilatérale en cours, serait irréalisable et incohérent.

Les premières réunions bilatérales ont débuté

A peine arrivé à Davos, le chef du gouvernement Youssef Chahed a commencé les rencontres avec de nombreux partenaires de la Tunisie.

Après une réunion avec la présidente de la Confédération Suisse Doris Leuthard, cette dernière a affirmé multiplier la coopération entre la Suisse et la Tunisie dans de nombreux domaines notamment en matière de formation professionnelle, d'énergies renouvelables,



De son côté, et lors d'une réunion entre Youssef Chahed et le ministre du Commerce et de l'artisanat qatari, le Qatar a indiqué qu'il tiendra les promesses effectuées lors de la conférence Tunisia 2020.

Enfin, lors d'une rencontre avec Federica Mogherini, Haut Représentant de l'Union pour les affaires étrangères et la politique de sécurité, il a été question des relations bilatérales, mais aussi de la situation régionale et principalement la question libyenne indique un communiqué de la présidence du gouvernement.

Selon la même source, le chef du gouvernement tunisien a appuyé la proposition du président de la République Béji Caid Essebsi de trouver une solution politique consensuelle avec l'aide de l'Égypte et l'Algérie.

LIRE AUSSI: Ces huit hommes sont plus riches que la moitié la plus pauvre de la population mondiale


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Ces images d'ours affamés en captivité ont suscité l'indignation

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ANIMAUX - Des vidéos d'ours des cocotiers en captivité ont suscité l'indignation. Les animaux, décharnés, affamés, semblent supplier les visiteurs de leur donner de la nourriture. Ils sont en captivité dans le zoo de Bandung en Indonésie.

Les vidéos ont été publiées par l'organisation Scorpion Wildlife Trade Monitoring Group, depuis mai 2016. Les dernières images ne montrent pas de grande amélioration pour ces ours des cocotiers, aussi appelés ours malais, comme vous pouvez le voir dans la vidéo ci-dessus.

Les conditions dans lesquelles les ours sont gardés sont particulièrement discutables: pas d'abri, pas de végétaux, juste du béton. Et aparament, peu de nourriture ou même d'eau claire. Le zoo de Bandung a déjà été accusé d'avoir maltraité ses animaux à plusieurs reprises. Une pétition pour obtenir sa fermeture a été lancée et compte plus de 200.000 signatures.

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