Dans tous les endroits qu'elle a visités, la photographe Maxi Cohen a choisi de capturer ce qui se passait dans les toilettes pour femmes. À travers ses nombreux voyages, elle a su créer un univers autour d'un endroit souvent très peu mis en avant.
C'est en 1978, lors du Festival du film de Miami, que tout commence. Et c'est sur son site web que l’Américaine explique comment lui est venue cette idée :
"Pour échapper à un dîner de gala ennuyeux dans un hôtel, je me suis retirée aux toilettes pour dames. Fascinée par les octogénaires qui ajustaient leurs corsets et leurs faux-cils, j'ai décidé de prendre l'appareil photo qui se trouvait dans mon sac et de les photographier."
À la suite de cette soirée, Maxi Cohen se lance donc dans le projet Ladies Rooms Around The World, afin de "célébrer le courage et la créativité des femmes, tout en prônant leurs droits", comme elle le décrit elle-même sur son site.
Entre stars de cinéma, passagers de transports en commun et personnels de nettoyage, l'artiste ne fait aucune distinction, qu'elle soit sociale, ethnique ou de genre. Ses clichés capturent à la fois l'empreinte des lieux, mais aussi leurs vécus. Un beau mélange de culture et de diversité, que l'on pourrait comparer à des coulisses ou des à des loges.
Avec son objectif, toujours dirigé face au miroir, la photographe apparaît comme un intrus dans un monde privé. Un contraste parfois frappant, mais qui accentue le côté vivant de ces lieux publics.
![toilettes publics feminins]()
Spa Golden Eagle, New Jersey (1982). Maxi Cohen.
Cohen immortalise donc ces rencontres et chaque scène qu'elle photographie est traitée avec beaucoup de respect et de délicatesse. Les photos qui en résultent sont aussi intimes que vulnérables et les époques sont, elles, suggérées et non exposées.
L'alternance entre les couleurs chaudes et les nuances froides laisse entrevoir, de façon naturelle, des lieux marqués par le temps. Le protagoniste, quand à lui, reste toujours le même : l'univers féminin, raconté à travers la beauté de ses propres rituels.
Les toilettes pour femmes à travers le monde :
C'est en 1978, lors du Festival du film de Miami, que tout commence. Et c'est sur son site web que l’Américaine explique comment lui est venue cette idée :
"Pour échapper à un dîner de gala ennuyeux dans un hôtel, je me suis retirée aux toilettes pour dames. Fascinée par les octogénaires qui ajustaient leurs corsets et leurs faux-cils, j'ai décidé de prendre l'appareil photo qui se trouvait dans mon sac et de les photographier."
À la suite de cette soirée, Maxi Cohen se lance donc dans le projet Ladies Rooms Around The World, afin de "célébrer le courage et la créativité des femmes, tout en prônant leurs droits", comme elle le décrit elle-même sur son site.
Entre stars de cinéma, passagers de transports en commun et personnels de nettoyage, l'artiste ne fait aucune distinction, qu'elle soit sociale, ethnique ou de genre. Ses clichés capturent à la fois l'empreinte des lieux, mais aussi leurs vécus. Un beau mélange de culture et de diversité, que l'on pourrait comparer à des coulisses ou des à des loges.
Avec son objectif, toujours dirigé face au miroir, la photographe apparaît comme un intrus dans un monde privé. Un contraste parfois frappant, mais qui accentue le côté vivant de ces lieux publics.

Cohen immortalise donc ces rencontres et chaque scène qu'elle photographie est traitée avec beaucoup de respect et de délicatesse. Les photos qui en résultent sont aussi intimes que vulnérables et les époques sont, elles, suggérées et non exposées.
L'alternance entre les couleurs chaudes et les nuances froides laisse entrevoir, de façon naturelle, des lieux marqués par le temps. Le protagoniste, quand à lui, reste toujours le même : l'univers féminin, raconté à travers la beauté de ses propres rituels.
Les toilettes pour femmes à travers le monde :
Retrouvez les articles du HuffPost Tunisie sur notre page Facebook.