Un site web en hommage à Salah al-Mehdi a été présenté au public dimanche dernier au palais Ennejma Ezzahra. Il contient son fonds d’archives papier, photographique et sonore.
De quoi faire raviver les œuvres du grand musicien compositeur.
Un pilier de la musique tunisienne contemporaine
Salah al-Mehdi, surnommé Ziryab par la presse tunisienne, est né le 9 février 1925 et s’est éteint le 12 septembre 2014 à l’âge de 89 ans.
Ses études en droit ne l’ont pas empêché de poursuivre ses rêves et de vivre sa passion qu’est la musique. Juge dans les années 50, ce n’est que dix ans après qu’il rejoint le monde de la culture et de la musique.
Père fondateur de la Troupe nationale des arts populaires et de l’Orchestre Symphonique Tunisien, Salah al-Mehdi a su concilier musique, chant et composition.
Toujours à la recherche de nouveaux talents, il a formé plusieurs chanteurs et leur a donné leurs noms de scène. Parmi eux, on cite les deux grandes chanteuses Naâma et Oulaya.
Sa mort en a dévasté plus d’un. Ce jour-là l’Académie Tunisienne des Sciences, des Lettres et des Arts avait exprimé sa profonde tristesse quant à “la perte d’un homme au riche et long parcours artistique”.
La scène musicale avait perdu ce jour-là un virtuose de la musique tunisienne dont l'empreinte reste, jusqu’à ce jour, gravée dans le patrimoine tunisien.
Un répertoire musical des plus riches
Salah al-Mehdi a laissé son héritage à la Tunisie; un répertoire de 600 compositions dont “Le chant de l’arabisme” (1947) à l’occasion du deuxième anniversaire de la Ligue Arabe.
Il a aussi composé l’ancien hymne national tunisien baptisé “Ala khalledi”.
Féru de musique, il était un parfait joueur de flûte mais maîtrisait parfaitement l’art du luth, du qanoun et du violon.
Il avait aussi composé des chansons pour Saliha dans ses jours de gloire.
Le HuffPost Tunisie a sélectionné pour vous 5 de ses compositions:
De quoi faire raviver les œuvres du grand musicien compositeur.
Un pilier de la musique tunisienne contemporaine
Salah al-Mehdi, surnommé Ziryab par la presse tunisienne, est né le 9 février 1925 et s’est éteint le 12 septembre 2014 à l’âge de 89 ans.
Ses études en droit ne l’ont pas empêché de poursuivre ses rêves et de vivre sa passion qu’est la musique. Juge dans les années 50, ce n’est que dix ans après qu’il rejoint le monde de la culture et de la musique.
Père fondateur de la Troupe nationale des arts populaires et de l’Orchestre Symphonique Tunisien, Salah al-Mehdi a su concilier musique, chant et composition.
Toujours à la recherche de nouveaux talents, il a formé plusieurs chanteurs et leur a donné leurs noms de scène. Parmi eux, on cite les deux grandes chanteuses Naâma et Oulaya.
Sa mort en a dévasté plus d’un. Ce jour-là l’Académie Tunisienne des Sciences, des Lettres et des Arts avait exprimé sa profonde tristesse quant à “la perte d’un homme au riche et long parcours artistique”.
La scène musicale avait perdu ce jour-là un virtuose de la musique tunisienne dont l'empreinte reste, jusqu’à ce jour, gravée dans le patrimoine tunisien.
Un répertoire musical des plus riches
Salah al-Mehdi a laissé son héritage à la Tunisie; un répertoire de 600 compositions dont “Le chant de l’arabisme” (1947) à l’occasion du deuxième anniversaire de la Ligue Arabe.
Il a aussi composé l’ancien hymne national tunisien baptisé “Ala khalledi”.
Féru de musique, il était un parfait joueur de flûte mais maîtrisait parfaitement l’art du luth, du qanoun et du violon.
Il avait aussi composé des chansons pour Saliha dans ses jours de gloire.
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