Invité dans l'émission "Liman Yajrou Fakat" sur la chaîne de télévision privée Al Hiwar Ettounsi, le poète tunisien Moncef Mezghani s'est livré à une satire poétique de l'Assemblée des Représentants du Peuple et de l'absentéisme fréquent de ses députés.
Dressant une image funèbre dans ce qu'il a appelé "les funérailles de l'absence", le portrait d'une personne dépossédée de ses sens se peint dans ses mots:
Tantôt rattaché à la "loi de la jungle", tantôt à des "chiens voleurs", face au vice-président de l'ARP Abdelfattah Mourou, Moncef Mezghani n'a pas mâché ses mots.
Lundi 18 avril, l'ONG Al Bawsala avait publié un ensemble de chiffres riches en renseignements sur les cinq premiers mois de la deuxième session parlementaire de l'Assemblée des représentants du peuple, où elle pointe du doigt le laisser-aller général dans le travail de l'Assemblée.
Dressant une image funèbre dans ce qu'il a appelé "les funérailles de l'absence", le portrait d'une personne dépossédée de ses sens se peint dans ses mots:
"A l'Assemblée des Représentants du Peuple/Une bouche sans langue/Une paume sans doigts/Des jambes sans pieds/Un crime sans punition..."
Tantôt rattaché à la "loi de la jungle", tantôt à des "chiens voleurs", face au vice-président de l'ARP Abdelfattah Mourou, Moncef Mezghani n'a pas mâché ses mots.
Lundi 18 avril, l'ONG Al Bawsala avait publié un ensemble de chiffres riches en renseignements sur les cinq premiers mois de la deuxième session parlementaire de l'Assemblée des représentants du peuple, où elle pointe du doigt le laisser-aller général dans le travail de l'Assemblée.
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