Le poète tunisien Sghaier Ouled Ahmed est mort aujourd’hui à l’hôpital militaire à la suite d’un long combat contre le cancer, ont annoncé plusieurs médias tunisiens.
Né en 1955 à Sidi Bouzid, il a travaillé d’abord comme animateur culturel puis connaît le chômage de 1987 à 1991. Dans les années 90 à Paris, il rêve de créer une maison de la poésie en Tunisie et ne cessera de travailler depuis pour la réalisation de ce projet. En 1992, il refuse une décoration nationale d’art et de culture.
En 1993, sa constante détermination est récompensée par l’inauguration à Tunis de la Maison de la poésie. Marquée par les années noires de la Tunisie, sa poésie dit le désenchantement, les peines et l’esprit de liberté et de révolte de toute une génération.
L’auteur du fameux texte "J’aime le pays comme personne ne peut l’aimer" était connu après la révolution pour avoir un critique virulent de la politique de la Troika.
En avril 2015, il annoncé publiquement sa maladie. Le 4 avril, il a publié son dernier poème sur sa page Facebook, écrit à l'hôpital militaire.
Né en 1955 à Sidi Bouzid, il a travaillé d’abord comme animateur culturel puis connaît le chômage de 1987 à 1991. Dans les années 90 à Paris, il rêve de créer une maison de la poésie en Tunisie et ne cessera de travailler depuis pour la réalisation de ce projet. En 1992, il refuse une décoration nationale d’art et de culture.
En 1993, sa constante détermination est récompensée par l’inauguration à Tunis de la Maison de la poésie. Marquée par les années noires de la Tunisie, sa poésie dit le désenchantement, les peines et l’esprit de liberté et de révolte de toute une génération.
L’auteur du fameux texte "J’aime le pays comme personne ne peut l’aimer" était connu après la révolution pour avoir un critique virulent de la politique de la Troika.
En avril 2015, il annoncé publiquement sa maladie. Le 4 avril, il a publié son dernier poème sur sa page Facebook, écrit à l'hôpital militaire.
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