Le secrétaire général des Nations unies Ban Ki-moon effectuera les 28 et 29 mars une visite officielle en Tunisie où il participera notamment au "dialogue national sur l'emploi", un enjeu majeur de l'après-révolution, a indiqué vendredi l'ONU.
M. Ban, qui s'était déjà rendu deux fois en Tunisie depuis le renversement du régime de Zine el Abidine Ben Ali en 2011, rencontrera les membres du Quartet, lauréats du dernier prix Nobel de la paix pour leur contribution au succès de la transition démocratique.
Il se rendra aussi au musée du Bardo pour rendre hommage aux 22 victimes (21 touristes et un policier) de l'attentat revendiqué par le groupe Etat islamique (EI), dont la Tunisie a marqué vendredi le premier anniversaire.
Selon le communiqué du Centre d'information des Nations unies à Tunis, le chef de l'ONU sera accompagné au premier jour de sa visite du président de la Banque mondiale (BM), Jim Yong Kim, avec qui il rencontrera notamment le président tunisien Béji Caïd Essebsi.
Si la Tunisie a réussi la transition démocratique née de sa révolution, elle ne parvient pas à faire redémarrer son économie.
La croissance en 2015 a été inférieure à 1%, plombée par la crise du secteur touristique, une conséquence des attentats de 2015 au musée du Bardo en mars puis contre un hôtel de Sousse en juin (38 morts).
Signe de la morosité ambiante, le pays a connu en janvier sa plus importante contestation sociale, partie du centre défavorisé du pays, où le fléau du chômage sévit particulièrement.
Face aux difficultés économiques, le gouvernement tunisien négocie actuellement auprès du Fonds monétaire international (FMI) une nouvelle ligne de crédit de 2,8 milliards de dollars pour les quatre prochaines années.
M. Ban, qui s'était déjà rendu deux fois en Tunisie depuis le renversement du régime de Zine el Abidine Ben Ali en 2011, rencontrera les membres du Quartet, lauréats du dernier prix Nobel de la paix pour leur contribution au succès de la transition démocratique.
Il se rendra aussi au musée du Bardo pour rendre hommage aux 22 victimes (21 touristes et un policier) de l'attentat revendiqué par le groupe Etat islamique (EI), dont la Tunisie a marqué vendredi le premier anniversaire.
Selon le communiqué du Centre d'information des Nations unies à Tunis, le chef de l'ONU sera accompagné au premier jour de sa visite du président de la Banque mondiale (BM), Jim Yong Kim, avec qui il rencontrera notamment le président tunisien Béji Caïd Essebsi.
Si la Tunisie a réussi la transition démocratique née de sa révolution, elle ne parvient pas à faire redémarrer son économie.
La croissance en 2015 a été inférieure à 1%, plombée par la crise du secteur touristique, une conséquence des attentats de 2015 au musée du Bardo en mars puis contre un hôtel de Sousse en juin (38 morts).
Signe de la morosité ambiante, le pays a connu en janvier sa plus importante contestation sociale, partie du centre défavorisé du pays, où le fléau du chômage sévit particulièrement.
Face aux difficultés économiques, le gouvernement tunisien négocie actuellement auprès du Fonds monétaire international (FMI) une nouvelle ligne de crédit de 2,8 milliards de dollars pour les quatre prochaines années.
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