CULTURE - C'est un genre musical qui incarne un pan de l'histoire de l'Andalousie, et un élément emblématique du patrimoine partagé par le Maroc, l'Algérie, la Tunisie et l'Espagne.
Un projet visant l'inscription de la musique arabo-andalouse sur la liste du patrimoine immatériel de l'humanité de l'Organisation des nations unies pour l'éducation, la science et la culture (Unesco), vient d'être lancé par la Fondation des trois cultures de la Méditerranée.
Mercredi 24 février, un manifeste en appui à cette candidature a été rendu public à Séville, à l'occasion d'un concert de musique arabo-andalouse animé par les chanteuses marocaine Samira Kadiri, tunisienne Dorsaf Hamdani et algérienne Lamia Maâdini, dans le cadre d'un forum sur la diversité culturelle organisé par la Fondation.
Ressusciter un ensemble de valeurs
"Le projet d'inscription de la musique arabo-andalouse sur la liste du patrimoine immatériel de l'humanité de l'Unesco permettra de ressusciter les valeurs qui ont marqué de leur sceau les relations entres l'Islam, le judaïsme et le christianisme à l'époque d'Al-Andalous", lit-on dans ce manifeste.
Ce projet favorisera, selon le même document, "le renforcement des relations entre les praticiens de cette musique dans les pays concernés", et l'émergence d'un "cadre adéquat de dialogue, de cohabitation et de paix".
"Un plan d'action et un calendrier bien définis devraient être mis en place pour soumettre la candidature à temps dans les délais imposés par l'Unesco", a déclaré à la MAP Sanae Allam, chargée de programme secteur de la culture au Bureau de l'Unesco-Maghreb à Rabat.
Un Forum sur le thème "culture, identité et développement humain" a été organisé mardi et mercredi à Séville par la Fondation des trois cultures de la Méditerranée, en partenariat avec le ministère chargé des Marocains résidant à l'étranger et des affaires de la migration.
Un projet visant l'inscription de la musique arabo-andalouse sur la liste du patrimoine immatériel de l'humanité de l'Organisation des nations unies pour l'éducation, la science et la culture (Unesco), vient d'être lancé par la Fondation des trois cultures de la Méditerranée.
Mercredi 24 février, un manifeste en appui à cette candidature a été rendu public à Séville, à l'occasion d'un concert de musique arabo-andalouse animé par les chanteuses marocaine Samira Kadiri, tunisienne Dorsaf Hamdani et algérienne Lamia Maâdini, dans le cadre d'un forum sur la diversité culturelle organisé par la Fondation.
Ressusciter un ensemble de valeurs
"Le projet d'inscription de la musique arabo-andalouse sur la liste du patrimoine immatériel de l'humanité de l'Unesco permettra de ressusciter les valeurs qui ont marqué de leur sceau les relations entres l'Islam, le judaïsme et le christianisme à l'époque d'Al-Andalous", lit-on dans ce manifeste.
Ce projet favorisera, selon le même document, "le renforcement des relations entre les praticiens de cette musique dans les pays concernés", et l'émergence d'un "cadre adéquat de dialogue, de cohabitation et de paix".
"Un plan d'action et un calendrier bien définis devraient être mis en place pour soumettre la candidature à temps dans les délais imposés par l'Unesco", a déclaré à la MAP Sanae Allam, chargée de programme secteur de la culture au Bureau de l'Unesco-Maghreb à Rabat.
Un Forum sur le thème "culture, identité et développement humain" a été organisé mardi et mercredi à Séville par la Fondation des trois cultures de la Méditerranée, en partenariat avec le ministère chargé des Marocains résidant à l'étranger et des affaires de la migration.
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