Il semblerait que le gouvernement d’union nationale ne verrait pas le jour au cours de cette semaine puisque le nouveau chef du gouvernement, Youssef Chahed, aurait planifié des rencontres avec les différents acteurs politiques tout au long de cette semaine (à en croire les mêmes acteurs politiques).
Intervenant sur les ondes de la radio Mosaïque FM, le secrétaire-général du Mouvement projet Tunisie (Al Machroû), Mohsen Marzouk, a expliqué que la présence de son parti aux négociations qui se mènent actuellement à "Dar Dhiafa" est un devoir national.
Toutefois, la participation d’Al Machroû se limite à ces mêmes négociations puisque le parti, qui vient tout juste d’organiser son congrès constitutif, n’est pas encore prêt à avoir une telle expérience, selon son secrétaire-général.
Mohsen Marzouk a révélé avoir conseillé Youssef Chahed de ne reconduire aucun ministre de l’équipe d’Habib Essid et de désigner des non-partisans à la tête de la moitié des ministères. Pour finir, le secrétaire-général d’Al Machroû a appelé Youssef Chahed à ne pas écouter ceux qui veulent faire du nouveau gouvernement un "gouvernement de schtroumpfs" expliquant qu’il entend dire par cette expression ceux qui souhaitent placer des ministres parce qu’ils sont "jeunes", "beaux" ou sont "dirigeants dans des partis politiques".
Les choses semblent être moins claires du côté de l’Union patriotique libre (UPL) dont le bureau politique étudie la possibilité de se retirer de la prochaine formation.
Dans une déclaration accordée à Shems FM, le dirigeant de l’UPL, Taoufik Jemni, a en effet expliqué que son parti n’est pas du tout satisfait des portefeuilles ministériels accordés, par Youssef Chahed, à des personnes incompétentes. Jemni a même déclaré que les pourparlers de la formation du prochain gouvernement ne sont pas en train d’être menés correctement.
Rappelons que le président de l’UPL, Slim Riahi, avait assuré qu’il est prêt à se délaisser de tous les ministères si on lui accordait celui de la lutte contre la corruption.
Pour le porte-parole du parti Al Jomhouri, Issam Chebbi, les partis de la coalition au pouvoir n’ont pas une réelle volonté pour former un gouvernement d’union nationale. Selon Chebbi, les partis concernés sont en train d’essayer de caser les différents ministres selon leur appartenance partisane et non pas selon leur compétence et expérience.
Réagissant à la probable participation de Mongi Rahoui au prochain gouvernement, le dirigeant au sein du Front populaire, Mohamed Jemour, a assuré que son camarade serait le grand perdant si jamais il acceptait une telle proposition.
Pour rappel, le député du Front Populaire Mongi Rahoui a affirmé vendredi 12 aoûr avoir été approché afin d'occuper le poste de ministre des Finances au sein du prochain gouvernement.
Intervenant sur les ondes de la radio Mosaïque FM, le secrétaire-général du Mouvement projet Tunisie (Al Machroû), Mohsen Marzouk, a expliqué que la présence de son parti aux négociations qui se mènent actuellement à "Dar Dhiafa" est un devoir national.
Toutefois, la participation d’Al Machroû se limite à ces mêmes négociations puisque le parti, qui vient tout juste d’organiser son congrès constitutif, n’est pas encore prêt à avoir une telle expérience, selon son secrétaire-général.
Mohsen Marzouk a révélé avoir conseillé Youssef Chahed de ne reconduire aucun ministre de l’équipe d’Habib Essid et de désigner des non-partisans à la tête de la moitié des ministères. Pour finir, le secrétaire-général d’Al Machroû a appelé Youssef Chahed à ne pas écouter ceux qui veulent faire du nouveau gouvernement un "gouvernement de schtroumpfs" expliquant qu’il entend dire par cette expression ceux qui souhaitent placer des ministres parce qu’ils sont "jeunes", "beaux" ou sont "dirigeants dans des partis politiques".
Les choses semblent être moins claires du côté de l’Union patriotique libre (UPL) dont le bureau politique étudie la possibilité de se retirer de la prochaine formation.
Dans une déclaration accordée à Shems FM, le dirigeant de l’UPL, Taoufik Jemni, a en effet expliqué que son parti n’est pas du tout satisfait des portefeuilles ministériels accordés, par Youssef Chahed, à des personnes incompétentes. Jemni a même déclaré que les pourparlers de la formation du prochain gouvernement ne sont pas en train d’être menés correctement.
Rappelons que le président de l’UPL, Slim Riahi, avait assuré qu’il est prêt à se délaisser de tous les ministères si on lui accordait celui de la lutte contre la corruption.
Pour le porte-parole du parti Al Jomhouri, Issam Chebbi, les partis de la coalition au pouvoir n’ont pas une réelle volonté pour former un gouvernement d’union nationale. Selon Chebbi, les partis concernés sont en train d’essayer de caser les différents ministres selon leur appartenance partisane et non pas selon leur compétence et expérience.
Réagissant à la probable participation de Mongi Rahoui au prochain gouvernement, le dirigeant au sein du Front populaire, Mohamed Jemour, a assuré que son camarade serait le grand perdant si jamais il acceptait une telle proposition.
Pour rappel, le député du Front Populaire Mongi Rahoui a affirmé vendredi 12 aoûr avoir été approché afin d'occuper le poste de ministre des Finances au sein du prochain gouvernement.
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