Suite à une absence de quelques jours – après qu’il ait subi une opération chirurgicale la semaine dernière – le chef du gouvernement, Habib Essid, a accordé une interview au journal électronique arabophone Assabah News où il est revenu sur les derniers dossiers brûlants de l’actualité.
La part du lion de cet entretien a été accordée au volet de l’initiative présidentielle. Une initiative qui semble bénéficier du soutien inconditionnel d’Habib Essid qui a expliqué que le document résumant les priorités de la prochaine formation gouvernementale correspond presque à cent pour cent au programme de son propre gouvernement.
Répondant à ses déclarations antérieures – dans lesquelles il avait exprimé son intention de rester à son poste et d’aller vers le vote de l’Assemblée des représentants du peuple – Essid a expliqué qu’il existait un agenda national lié à la date de la tenue des élections municipales et qu’aujourd’hui, ce même agenda a connu quelques changements avec lesquels le chef du gouvernement est tout à fait d’accord.
En ce qui concerne la volonté exprimée par quelques partis politiques, participants au dialogue se déroulant au palais de Carthage, de voir Habib Essid partir de son poste, ce dernier a estimé qu’il s’agit d’un droit fondamental.
Pour lui, toute décision qui va dans le sens des intérêts généraux du pays ne peut être qu’une solution bénéfique. Le chef du gouvernement a d’ailleurs rappelé qu’au lendemain même de l’annonce de Béji Caïd Essebsi, il avait accordé une interview radiophonique où il avait annoncé qu’il est prêt à démissionner pour le bien du pays.
Répondant aux accusations de quelques dirigeants de Nidaa Tounes – à l’instar de Sofiene Toubel, président du bloc parlementaire du Nidaa, qui a affirmé qu’Essid et Ridha Belhadj sont très proches et travaillent ensemble – le chef du gouvernement a assuré que seule sa propre conscience est capable d’influencer ses choix.
Pour le dossier de la nomination des gouverneurs et des délégués régionaux, Essid a expliqué que ces désignations se sont faites en partant d’une liste de candidats signée par le directeur exécutif du mouvement de Nidaa Tounes, à savoir Hafedh Caïd Essebsi.
Interrogé sur les rumeurs qui circulent sur sa proximité avec le mouvement d’Ennahdha, Habib Essid a assuré qu’il collabore avec tous les partis, qu’ils soient de la coalition au pouvoir ou de l’opposition, de la même manière qui permet à tous les acteurs de la scène politique nationale de travailler dans les meilleures conditions.
La part du lion de cet entretien a été accordée au volet de l’initiative présidentielle. Une initiative qui semble bénéficier du soutien inconditionnel d’Habib Essid qui a expliqué que le document résumant les priorités de la prochaine formation gouvernementale correspond presque à cent pour cent au programme de son propre gouvernement.
Répondant à ses déclarations antérieures – dans lesquelles il avait exprimé son intention de rester à son poste et d’aller vers le vote de l’Assemblée des représentants du peuple – Essid a expliqué qu’il existait un agenda national lié à la date de la tenue des élections municipales et qu’aujourd’hui, ce même agenda a connu quelques changements avec lesquels le chef du gouvernement est tout à fait d’accord.
En ce qui concerne la volonté exprimée par quelques partis politiques, participants au dialogue se déroulant au palais de Carthage, de voir Habib Essid partir de son poste, ce dernier a estimé qu’il s’agit d’un droit fondamental.
Pour lui, toute décision qui va dans le sens des intérêts généraux du pays ne peut être qu’une solution bénéfique. Le chef du gouvernement a d’ailleurs rappelé qu’au lendemain même de l’annonce de Béji Caïd Essebsi, il avait accordé une interview radiophonique où il avait annoncé qu’il est prêt à démissionner pour le bien du pays.
Répondant aux accusations de quelques dirigeants de Nidaa Tounes – à l’instar de Sofiene Toubel, président du bloc parlementaire du Nidaa, qui a affirmé qu’Essid et Ridha Belhadj sont très proches et travaillent ensemble – le chef du gouvernement a assuré que seule sa propre conscience est capable d’influencer ses choix.
Pour le dossier de la nomination des gouverneurs et des délégués régionaux, Essid a expliqué que ces désignations se sont faites en partant d’une liste de candidats signée par le directeur exécutif du mouvement de Nidaa Tounes, à savoir Hafedh Caïd Essebsi.
Interrogé sur les rumeurs qui circulent sur sa proximité avec le mouvement d’Ennahdha, Habib Essid a assuré qu’il collabore avec tous les partis, qu’ils soient de la coalition au pouvoir ou de l’opposition, de la même manière qui permet à tous les acteurs de la scène politique nationale de travailler dans les meilleures conditions.
Retrouvez les articles du HuffPost Tunisie sur notre page Facebook.