POLITIQUE- L'ancien président provisoire de la République, Moncef Marzouki a posté un statut sur son profil Facebook, le 8 juillet où il regrette l'époque de sa présidence en se lamentant de l'état actuel de la scène politique.
![marzouki]()
Avec nostalgie, Marzouki énumère la période transitionnelle où il était président, une période "certes difficile" mais où "le président (lui) travaillait des dizaines d'heures par jour", où "le gouvernement était solidaire...avec un niveau de discussion élevé à la Constituante malgré la présence de quelques Constituants pittoresques, avec des débats menés par les philosophes de l'islam et des connaisseurs en civilisation antique..."
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Puis Marzouki commence sa diatribe contre les gouvernants actuels par "le gouvernement drolatique", puis du "gouvernement divisé" et il finit par pester contre le président de la République Béji Caid Esbessi "incapable d'accomplir même ses devoirs symboliques" en faisant allusion à son absence lors du Aid El Fitr. Sa critique acerbe contre BCE englobe également son projet de réconciliation économique, sa famille qui orbite autour du pouvoir et enfin sa proposition d'un gouvernement d'union nationale, qui est, selon lui, une faute, une gouaille monumentale".
Marzouki grogne ensuite contre les promesses non tenues, selon lui, de BCE et appelle les Tunisiens à la vigilance pour sauver le pays de la "dictature".

Avec nostalgie, Marzouki énumère la période transitionnelle où il était président, une période "certes difficile" mais où "le président (lui) travaillait des dizaines d'heures par jour", où "le gouvernement était solidaire...avec un niveau de discussion élevé à la Constituante malgré la présence de quelques Constituants pittoresques, avec des débats menés par les philosophes de l'islam et des connaisseurs en civilisation antique..."

Puis Marzouki commence sa diatribe contre les gouvernants actuels par "le gouvernement drolatique", puis du "gouvernement divisé" et il finit par pester contre le président de la République Béji Caid Esbessi "incapable d'accomplir même ses devoirs symboliques" en faisant allusion à son absence lors du Aid El Fitr. Sa critique acerbe contre BCE englobe également son projet de réconciliation économique, sa famille qui orbite autour du pouvoir et enfin sa proposition d'un gouvernement d'union nationale, qui est, selon lui, une faute, une gouaille monumentale".
Marzouki grogne ensuite contre les promesses non tenues, selon lui, de BCE et appelle les Tunisiens à la vigilance pour sauver le pays de la "dictature".
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