MIGRATION- Les agents de la garde maritime de Sousse ont mis en échec, le 6 juillet une nouvelle tentative de migration clandestine depuis les côtes de Hergla.
Selon un communiqué du ministère de l’Intérieur, les cinq candidats à cette opération de migration clandestine, qui faisaient route vers les côtes italiennes, ont été appréhendés. Ces derniers, tous de nationalité tunisienne, sont âgés entre 25 et 31 ans.
Parmi eux, un individu activement recherché par les forces de sécurité pour trafic de drogue et port illégal d’arme, apprend-on de même source.
Une précédente tentative de migration clandestine avait tourné au drame, le 2 juillet, près des côtes de Sabratha (Libye). Seuls onze sur les 28 naufragés, des jeunes tous originaires de Ben Guerdane, ont pu êtres sauvés.
Le 6 juillet, les corps de cinq Tunisiens qui ont péri, la semaine dernière, dans le naufrage d'un chalutier clandestin au large de Sabratha, en Libye, sont arrivés à l'hôpital régional de Ben Guerdane (gouvernorat de Médenine).
Les familles des victimes ont procédé, dès jeudi, à l'inhumation des dépouilles de leurs défunts.
Les corps de neuf autres naufragés tunisiens, tous originaires de Ben Guerdane, ont déjà été remis aux familles depuis l'incident du 2 juillet. Le plus jeune d'entre eux était âgé de 16 ans.
Les recherches se poursuivent au large de Sabratha pour repêcher les corps des naufragés qui sont toujours portés disparus.
Un chalutier tunisien avait fait naufrage, le 2 juillet courant, près des côtes de la ville de Sabratha (extrême nord-ouest de la Libye), avec à son bord 28 jeunes tunisiens originaires de Ben Guerdane.
Seuls onze jeunes on pu survivre au naufrage.
Selon un communiqué du ministère de l’Intérieur, les cinq candidats à cette opération de migration clandestine, qui faisaient route vers les côtes italiennes, ont été appréhendés. Ces derniers, tous de nationalité tunisienne, sont âgés entre 25 et 31 ans.
Parmi eux, un individu activement recherché par les forces de sécurité pour trafic de drogue et port illégal d’arme, apprend-on de même source.
Une précédente tentative de migration clandestine avait tourné au drame, le 2 juillet, près des côtes de Sabratha (Libye). Seuls onze sur les 28 naufragés, des jeunes tous originaires de Ben Guerdane, ont pu êtres sauvés.
Le 6 juillet, les corps de cinq Tunisiens qui ont péri, la semaine dernière, dans le naufrage d'un chalutier clandestin au large de Sabratha, en Libye, sont arrivés à l'hôpital régional de Ben Guerdane (gouvernorat de Médenine).
Les familles des victimes ont procédé, dès jeudi, à l'inhumation des dépouilles de leurs défunts.
Les corps de neuf autres naufragés tunisiens, tous originaires de Ben Guerdane, ont déjà été remis aux familles depuis l'incident du 2 juillet. Le plus jeune d'entre eux était âgé de 16 ans.
Les recherches se poursuivent au large de Sabratha pour repêcher les corps des naufragés qui sont toujours portés disparus.
Un chalutier tunisien avait fait naufrage, le 2 juillet courant, près des côtes de la ville de Sabratha (extrême nord-ouest de la Libye), avec à son bord 28 jeunes tunisiens originaires de Ben Guerdane.
Seuls onze jeunes on pu survivre au naufrage.
Retrouvez les articles du HuffPost Tunisie sur notre page Facebook.