JUSTICE- L'organisation tunisienne de lutte contre la torture a révélé qu'une baisse des cas de torture a été enregistrée pendant le mois de juin. Six dossiers ont parvenu à l'organisation lors de cette période et ils concernent la violence, le mauvais traitement et la négligence médicale dans les centres de détention.
Cette baisse est due, entre autres, selon l'ONG, à l'application de la récente réforme du code de procédures pénales qui a permis la présence de l'avocat lors de l'instruction, notant par ailleurs, la justesse des pressions de la société civile pour l'adoption de ladite réforme, qui constitue une parade à tous les dépassements qui pourraient avoir lieu lors de l'arrestation d'un citoyen en l'occurrence les pressions, les sévices et garantit ainsi le bon déroulement des procédures de l'instruction dans le cadre d'un procés équitable.
L'organisation soulevé toutefois la persistance de pratiques dégradantes comme la négligence médicale des prisonniers souffrant des maladies chroniques notamment et en pointant de doigt l'administration pénitentiaire qui ne réagit pas aux demandes des familles de prisonniers dans ce sens.
L'organisation relève également des affaires de violence excessive, de vol lors des interventions policières, appelant à punir les responsables.
Il est à noter que le ministre de la Justice, Omar Mansour, a fustigé récemment, lors de la Journée mondiale de lutte contre la torture, les méthodes "incriminées par la loi" et qui sont, selon lui, inefficaces pour arracher des aveux aux accusés.
Concernant le retard pris dans l'examen par les juges des plaintes relatives à des cas de torture, le ministre a expliqué que les plaintes sont référencées dans des registres dans les tribunaux de première instance pour leur suivi. Il a assuré que des sanctions ont été infligées à ceux dont l'implication dans ce type de violation a été prouvée.
Omar Mansour a rappelé que le ministère a conclu plusieurs mémorandums d'entente avec des membres de la société civile pour la visite des prisons.
il a également rappelé les mesures "historiques" prises au cours de la dernière période pour humaniser le système pénitentiaire.
Cette baisse est due, entre autres, selon l'ONG, à l'application de la récente réforme du code de procédures pénales qui a permis la présence de l'avocat lors de l'instruction, notant par ailleurs, la justesse des pressions de la société civile pour l'adoption de ladite réforme, qui constitue une parade à tous les dépassements qui pourraient avoir lieu lors de l'arrestation d'un citoyen en l'occurrence les pressions, les sévices et garantit ainsi le bon déroulement des procédures de l'instruction dans le cadre d'un procés équitable.
L'organisation soulevé toutefois la persistance de pratiques dégradantes comme la négligence médicale des prisonniers souffrant des maladies chroniques notamment et en pointant de doigt l'administration pénitentiaire qui ne réagit pas aux demandes des familles de prisonniers dans ce sens.
L'organisation relève également des affaires de violence excessive, de vol lors des interventions policières, appelant à punir les responsables.
Il est à noter que le ministre de la Justice, Omar Mansour, a fustigé récemment, lors de la Journée mondiale de lutte contre la torture, les méthodes "incriminées par la loi" et qui sont, selon lui, inefficaces pour arracher des aveux aux accusés.
Concernant le retard pris dans l'examen par les juges des plaintes relatives à des cas de torture, le ministre a expliqué que les plaintes sont référencées dans des registres dans les tribunaux de première instance pour leur suivi. Il a assuré que des sanctions ont été infligées à ceux dont l'implication dans ce type de violation a été prouvée.
Omar Mansour a rappelé que le ministère a conclu plusieurs mémorandums d'entente avec des membres de la société civile pour la visite des prisons.
il a également rappelé les mesures "historiques" prises au cours de la dernière période pour humaniser le système pénitentiaire.
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