Le porte-parole du Tribunal de première instance de Tunis Sofiène Selliti a affirmé, jeudi 30 juin , que le ministère public auprès du pôle judiciaire de lutte contre le terrorisme a ordonné l’ouverture d’une information judiciaire contre toute personne qui serait impliquée dans un meurtre ou dans des crimes terroristes, et ce à la suite du triple attentat qui a frappé, mardi 28 juin , l’aéroport Atatürk d’Istanbul.
Trois terroristes ont ouvert le feu sur la foule puis se sont fait exploser dans différents endroits de l’aéroport, conduisant à la mort d'au moins 42 personnes et 238 autres blessées.
Parmi les victimes de différentes nationalités, le tunisien Fathi Bayoudh, chef du service de pédiatrie à l’hôpital militaire de Tunis, parti récupérer son fils arrêté par les autorités turques, qui avait rejoint les rangs de l'État Islamique en Syrie selon plusieurs médias.
Dans une déclaration à la TAP, Selliti a précisé que le premier juge d’instruction près le pôle judiciaire de lutte contre le terrorisme a été chargé de l’affaire conformément à l’article 83 de la loi organique relative à la lutte antiterroriste et au blanchiment d’argent.
Cette loi, a-t-il ajouté, permettra au tribunal de première instance d’examiner les crimes terroristes commis en dehors du territoire national et contre des personnes et des intérêts tunisiens.
Le décès de Fathi Bayoudh, directeur du service pédiatrique à l'hôpital militaire de Tunis, a suscité l'émotion.
Dans un message de condoléance adressé à la famille du défunt en sa qualité de président de la République et de chef suprême des forces armées, Béji Caid Essebsi s'est dit, profondément, attristé par la mort de Fathi Bayoudh dans un attentat "odieux" qui a fait plusieurs victimes innocentes.
Le porte-parole du ministère de la Défense Belhassen Oueslati a indiqué que des funérailles officielles seront organisées pour le Colonel Fathi Bayoudh.
Trois terroristes ont ouvert le feu sur la foule puis se sont fait exploser dans différents endroits de l’aéroport, conduisant à la mort d'au moins 42 personnes et 238 autres blessées.
Parmi les victimes de différentes nationalités, le tunisien Fathi Bayoudh, chef du service de pédiatrie à l’hôpital militaire de Tunis, parti récupérer son fils arrêté par les autorités turques, qui avait rejoint les rangs de l'État Islamique en Syrie selon plusieurs médias.
Dans une déclaration à la TAP, Selliti a précisé que le premier juge d’instruction près le pôle judiciaire de lutte contre le terrorisme a été chargé de l’affaire conformément à l’article 83 de la loi organique relative à la lutte antiterroriste et au blanchiment d’argent.
Cette loi, a-t-il ajouté, permettra au tribunal de première instance d’examiner les crimes terroristes commis en dehors du territoire national et contre des personnes et des intérêts tunisiens.
Le décès de Fathi Bayoudh, directeur du service pédiatrique à l'hôpital militaire de Tunis, a suscité l'émotion.
Dans un message de condoléance adressé à la famille du défunt en sa qualité de président de la République et de chef suprême des forces armées, Béji Caid Essebsi s'est dit, profondément, attristé par la mort de Fathi Bayoudh dans un attentat "odieux" qui a fait plusieurs victimes innocentes.
Le porte-parole du ministère de la Défense Belhassen Oueslati a indiqué que des funérailles officielles seront organisées pour le Colonel Fathi Bayoudh.
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