Mort lors de l'attentat mené contre l'aéroport Kamel Atatürk d'Istanbul, l'histoire du colonel-major Fathi Bayoudh aura suscitée beaucoup d'émotions.
Parti récupérer son fils arrêté par les autorités turques, qui avait rejoint les rangs de l'État Islamique en Syrie selon plusieurs médias, Dr. Fathi Bayoudh y aura perdu la vie.
Bien que parfois contradictoires selon différents médias, cette version a été confirmée à l'AFP, par le directeur général des Affaires consulaires au ministère des Affaires étrangères, Fayçal Ben Mustapha, qui a indiqué que le fils de cette victime tunisienne "s'était rendu en Irak puis en Syrie et se trouve en détention en Turquie".
"On ne sait pas précisément ce qu'il a fait", a-t-il ajouté en précisant que le consulat de Tunisie à Istanbul était en contact "avec la famille Bayoudh depuis décembre".
De son côté le porte-parole du ministère de la Défense, Belhassen Oueslati a indiqué que la victime était en Turquie à titre privé.
Le combat d'un père
Cette tragédie aura suscité une vague d'émotion sans précédent sur les réseaux sociaux.
Une résonance internationale
L'histoire de Dr. Fathi Bayoudh a été reprise au niveau de la presse internationale, mettant en avant le combat de ce père "mort après s'être battu pour sortir son fils de l'enfer jihadiste" affirme Le Huffington Post dans son édition française.
Même son de cloche du côté du Figaro, ou encore de l'Express.
Parti récupérer son fils arrêté par les autorités turques, qui avait rejoint les rangs de l'État Islamique en Syrie selon plusieurs médias, Dr. Fathi Bayoudh y aura perdu la vie.
Bien que parfois contradictoires selon différents médias, cette version a été confirmée à l'AFP, par le directeur général des Affaires consulaires au ministère des Affaires étrangères, Fayçal Ben Mustapha, qui a indiqué que le fils de cette victime tunisienne "s'était rendu en Irak puis en Syrie et se trouve en détention en Turquie".
"On ne sait pas précisément ce qu'il a fait", a-t-il ajouté en précisant que le consulat de Tunisie à Istanbul était en contact "avec la famille Bayoudh depuis décembre".
De son côté le porte-parole du ministère de la Défense, Belhassen Oueslati a indiqué que la victime était en Turquie à titre privé.
Le combat d'un père
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Une résonance internationale
L'histoire de Dr. Fathi Bayoudh a été reprise au niveau de la presse internationale, mettant en avant le combat de ce père "mort après s'être battu pour sortir son fils de l'enfer jihadiste" affirme Le Huffington Post dans son édition française.
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