Le jeune musicien tunisien Haydar Hamdi et son groupe de reggae ont assuré mardi 21 juin un concert musical à l’Institut des Cultures de l’Islam (ICI) à Paris.
Les musiciens ont fait vibrer un public très jeune en sa majorité, sous les rythmes d’un reggae typiquement tunisien. "C’est mon album 'Idée', 'Fikra' enregistré en mai 2015 et qui résume le quotidien pénible de la jeunesse tunisienne depuis des années", déclare Haydar Hamdi à l’Agence TAP.
En fait, le groupe revisite le reggae et le groove en y introduisant une touche orientale et même tunisienne à travers des instruments typiques notamment "le Qanun", joué par Nidhal Jaoua et "le Bendi", joué par Narjess Saad. "C’est un reggae tunisien", indique Haydar tout en ajoutant que son groupe appelle ce genre musical "le dub tunisien". "C’est un reggae avec beaucoup d’effets et des gammes orientales", explique-t-il.
Se distinguant par un style original, Haydar, guitariste et chanteur, déplore en dialecte tunisien le quotidien de ses compatriotes. Un quotidien marqué par les difficultés depuis l’époque de Ben Ali, laisse entendre le jeune musicien à travers ses chansons. Notamment, "Chouf Bladi, est une chanson écrite avant le départ de Ben Ali. Elle parle de la galère dans mon pays, mais elle fait danser", s’adresse-t-il au public pour mettre de l’ambiance.
Présenté par l’ICI comme étant "un véritable concentré d’énergie et un enfant de la révolution" Haydar Hamdi préfère que son groupe soit présenté comme étant un groupe intègre. "Car nous racontons des histoires que nous avons tous vécues", tenait-il à dire. Et d’ajouter : "c’est une continuité de ce que nous avons commencé à l’époque de Ben Ali".
S’inscrivant dans le cadre d’une programmation qui met à l’honneur la Tunisie à savoir : le cycle TuniCie qui se déroule depuis le mois de février et se prolonge jusqu’au 14 août 2016 à l’Institut des Cultures d’Islam, le concert était assuré aussi, à l’occasion de la fête de la musique célébrée chaque 21 du mois de juin.
Les musiciens ont fait vibrer un public très jeune en sa majorité, sous les rythmes d’un reggae typiquement tunisien. "C’est mon album 'Idée', 'Fikra' enregistré en mai 2015 et qui résume le quotidien pénible de la jeunesse tunisienne depuis des années", déclare Haydar Hamdi à l’Agence TAP.
En fait, le groupe revisite le reggae et le groove en y introduisant une touche orientale et même tunisienne à travers des instruments typiques notamment "le Qanun", joué par Nidhal Jaoua et "le Bendi", joué par Narjess Saad. "C’est un reggae tunisien", indique Haydar tout en ajoutant que son groupe appelle ce genre musical "le dub tunisien". "C’est un reggae avec beaucoup d’effets et des gammes orientales", explique-t-il.
Se distinguant par un style original, Haydar, guitariste et chanteur, déplore en dialecte tunisien le quotidien de ses compatriotes. Un quotidien marqué par les difficultés depuis l’époque de Ben Ali, laisse entendre le jeune musicien à travers ses chansons. Notamment, "Chouf Bladi, est une chanson écrite avant le départ de Ben Ali. Elle parle de la galère dans mon pays, mais elle fait danser", s’adresse-t-il au public pour mettre de l’ambiance.
Présenté par l’ICI comme étant "un véritable concentré d’énergie et un enfant de la révolution" Haydar Hamdi préfère que son groupe soit présenté comme étant un groupe intègre. "Car nous racontons des histoires que nous avons tous vécues", tenait-il à dire. Et d’ajouter : "c’est une continuité de ce que nous avons commencé à l’époque de Ben Ali".
S’inscrivant dans le cadre d’une programmation qui met à l’honneur la Tunisie à savoir : le cycle TuniCie qui se déroule depuis le mois de février et se prolonge jusqu’au 14 août 2016 à l’Institut des Cultures d’Islam, le concert était assuré aussi, à l’occasion de la fête de la musique célébrée chaque 21 du mois de juin.
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