Une peine de 18 années de réclusion criminelle a été requise mercredi devant les assises à Versailles à l'encontre d'un pédophile français accusé d'avoir violé ou agressé sexuellement au moins 66 garçons mineurs au Sri Lanka, en Tunisie et en Egypte, pendant dix ans.
L'accusation a également demandé que l'accusé fasse l'objet d'un suivi socio-judiciaire. Jugé depuis lundi dans ce dossier "hors normes", selon les enquêteurs, le parquet et les associations présentes, Thierry Darantière, 52 ans, a reconnu les faits, sans pouvoir évaluer le nombre de ses victimes ni exclure qu'elles puissent être plus nombreuses.
Ancien directeur d'une maison de retraite catholique des Yvelines, il répond de viols et agressions sexuelles sur au moins 66 garçons âgés de 6 à 17 ans, pendant dix ans, lors de voyages touristiques en Tunisie et en Egypte, mais aussi de missions humanitaires au Sri Lanka après le tsunami de 2004.
Il s'agissait au départ d'une "recherche" d'une homosexualité inavouable dans sa famille, explique l'accusé. "Ca a commencé par du touche-pipi dans les buissons en Tunisie".
Seul le Sri Lanka a coopéré avec la justice française, permettant de mettre un nom sur les visages de neuf enfants. La justice Tunisienne est quant à elle aux abonnés absent.
L'accusation a également demandé que l'accusé fasse l'objet d'un suivi socio-judiciaire. Jugé depuis lundi dans ce dossier "hors normes", selon les enquêteurs, le parquet et les associations présentes, Thierry Darantière, 52 ans, a reconnu les faits, sans pouvoir évaluer le nombre de ses victimes ni exclure qu'elles puissent être plus nombreuses.
Ancien directeur d'une maison de retraite catholique des Yvelines, il répond de viols et agressions sexuelles sur au moins 66 garçons âgés de 6 à 17 ans, pendant dix ans, lors de voyages touristiques en Tunisie et en Egypte, mais aussi de missions humanitaires au Sri Lanka après le tsunami de 2004.
Il s'agissait au départ d'une "recherche" d'une homosexualité inavouable dans sa famille, explique l'accusé. "Ca a commencé par du touche-pipi dans les buissons en Tunisie".
Seul le Sri Lanka a coopéré avec la justice française, permettant de mettre un nom sur les visages de neuf enfants. La justice Tunisienne est quant à elle aux abonnés absent.
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