Aborder la vie professionnelle n'est pas une tâche facile.
Une requête, de surcroît, compliquée par la crise économique qui bat son plein, qui dure et qui risque de perdurer.
Fini les folies estudiantines et les fêtes improvisées, fini les montées d'adrénaline en période d'examens et les vacances méritées et tant attendues.
Il est bien temps de regarder les choses en face, temps d'assumer ses responsabilités , temps de sevrage de la dépendance familiale.
Fiers et limite orgueilleux d'avoir décroché son diplôme, on fait la fête jusqu'au matin.
Entre ceux qui se réveillent avec une maudite gueule de bois et d'autres qui ont opté pour le cadre familial, les manières différent, mais l'euphorie est bien présente.
Peu de temps après, on commence à constituer son dossier professionnel: Copies de diplômes, photos d'identité et tant de paperasses qu'on juge inutiles. À tout cela on rajoute le fameux CV!
Et puis une nouvelle aventure voit le jour. Motivés, enthousiastes et ambitieux, on entame sa requête. Assurer son gagne pain, avoir une source de revenu stable, réaliser ses petits projets d'avenir: seules idées qu'on a en tête!
Mails envoyés, lettres de motivation rédigées (ou copiées), sites Internet dévorés: On enchaîne les entretiens d'embauche. On se heurte à un nouveau champs lexical, à de nouveaux vocabulaires qui nous sont étranges! Oui étranges pour les étudiants qu'on était: Qualifications, compétences, expériences etc...
Après avoir dressé un profil idéal, joué au stratège en citant ses qualités et défauts, on attend le verdict.
On attend que d'autres; des inconnus; décident de notre sort: Impatients et munis d'un esprit encore rebelle, on se demande si on est bien libre. Libre de nos choix, libres de nos décisions, libres de nos mouvements.
Toujours Impatients, on prend bien conscience que le mot libre perd son sens, devient vide de sens! On commence peu à peu à renoncer à quelques rêves!
Là, la fameuse réplique "grandir pour quoi faire?" nous traverse l'esprit.
On passe par des hauts et des bas, des périodes difficiles et d'autres moins difficiles. Des questions existentielles trouvent leur indication. On devient philosophes des fois, on oscille entre le rêveur et le réaliste.
Que faire alors?
Les règles d'or:
No pain, no gain!
Une requête, de surcroît, compliquée par la crise économique qui bat son plein, qui dure et qui risque de perdurer.
Fini les folies estudiantines et les fêtes improvisées, fini les montées d'adrénaline en période d'examens et les vacances méritées et tant attendues.
Il est bien temps de regarder les choses en face, temps d'assumer ses responsabilités , temps de sevrage de la dépendance familiale.
Fiers et limite orgueilleux d'avoir décroché son diplôme, on fait la fête jusqu'au matin.
Entre ceux qui se réveillent avec une maudite gueule de bois et d'autres qui ont opté pour le cadre familial, les manières différent, mais l'euphorie est bien présente.
Peu de temps après, on commence à constituer son dossier professionnel: Copies de diplômes, photos d'identité et tant de paperasses qu'on juge inutiles. À tout cela on rajoute le fameux CV!
Et puis une nouvelle aventure voit le jour. Motivés, enthousiastes et ambitieux, on entame sa requête. Assurer son gagne pain, avoir une source de revenu stable, réaliser ses petits projets d'avenir: seules idées qu'on a en tête!
Mails envoyés, lettres de motivation rédigées (ou copiées), sites Internet dévorés: On enchaîne les entretiens d'embauche. On se heurte à un nouveau champs lexical, à de nouveaux vocabulaires qui nous sont étranges! Oui étranges pour les étudiants qu'on était: Qualifications, compétences, expériences etc...
Après avoir dressé un profil idéal, joué au stratège en citant ses qualités et défauts, on attend le verdict.
On attend que d'autres; des inconnus; décident de notre sort: Impatients et munis d'un esprit encore rebelle, on se demande si on est bien libre. Libre de nos choix, libres de nos décisions, libres de nos mouvements.
Toujours Impatients, on prend bien conscience que le mot libre perd son sens, devient vide de sens! On commence peu à peu à renoncer à quelques rêves!
Là, la fameuse réplique "grandir pour quoi faire?" nous traverse l'esprit.
On passe par des hauts et des bas, des périodes difficiles et d'autres moins difficiles. Des questions existentielles trouvent leur indication. On devient philosophes des fois, on oscille entre le rêveur et le réaliste.
Que faire alors?
Les règles d'or:
- S'accrocher, se battre et ne pas baisser les bras.
- Être patient.
- Ne renoncer à rien, fixer des objectifs, viser la lune, comme le disait Oscar Wilde.
- Apprendre de ses erreurs et savoir prendre les bonnes décisions.
- Les échecs s'invitent quelques fois pour nous rendre encore plus forts.
- Être créatif.
- Et pour conclure qui cherche bien finit toujours par trouver!
No pain, no gain!
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