INDEPENDANCE - Khemaies Jhinaoui, le ministre des Affaires étrangères, a nié "toute appartenance [de la Tunisie] à un quelconque axe" mardi 26 avril lors de la séance de questions au gouvernement à l'Assemblée des représentants du peuple.
Revenant sur la polémique née de la qualification de "terroriste" pour le Hezbollah par le Conseil des ministres arabes de l'Intérieur le 2 mars dernier, à laquelle la Tunisie ne s'était pas opposée, le chef de la diplomatie a précisé que ce type de déclarations d'instances arabes "visaient certains actes du parti et ne le [le Hezbollah, NDLR] classe pas organisation terroriste".
L'ombre de l'Arabie saoudite...
Le ministre des Affaires étrangères a ajouté que la Tunisie entretenait de bonnes relations avec tous les pays arabes et de la région, notamment l'Arabie saoudite, le Liban et l'Iran.
Ces propos interviennent à peine plus d'un mois après la fête de l'Indépendance, au cours de laquelle le président de la République Béji Caïd Essebsi avait vivement répondu à ceux - Front populaire en tête - qui doutaient de la réalité de l'indépendance tunisienne face à l'influence prêtée aux Etats du Golfe, notamment l'Arabie saoudite.
... et celle des Etats-Unis
Le ministre a également tenu à dissocier "le mémorandum d’entente signé entre la Tunisie et les Etats-Unis d’Amérique et l’attribution de la qualité d’allié majeur non membre de l’Alliance atlantique (OTAN) à la Tunisie", rapporte la TAP.
Le ministre est revenu sur les rumeurs prêtant aux Etats-Unis le droit de mener des opérations militaires depuis la Tunisie, niant qu'il existe tout accord militaire de ce type entre les deux pays.
Revenant sur la polémique née de la qualification de "terroriste" pour le Hezbollah par le Conseil des ministres arabes de l'Intérieur le 2 mars dernier, à laquelle la Tunisie ne s'était pas opposée, le chef de la diplomatie a précisé que ce type de déclarations d'instances arabes "visaient certains actes du parti et ne le [le Hezbollah, NDLR] classe pas organisation terroriste".
L'ombre de l'Arabie saoudite...
Le ministre des Affaires étrangères a ajouté que la Tunisie entretenait de bonnes relations avec tous les pays arabes et de la région, notamment l'Arabie saoudite, le Liban et l'Iran.
Ces propos interviennent à peine plus d'un mois après la fête de l'Indépendance, au cours de laquelle le président de la République Béji Caïd Essebsi avait vivement répondu à ceux - Front populaire en tête - qui doutaient de la réalité de l'indépendance tunisienne face à l'influence prêtée aux Etats du Golfe, notamment l'Arabie saoudite.
... et celle des Etats-Unis
Le ministre a également tenu à dissocier "le mémorandum d’entente signé entre la Tunisie et les Etats-Unis d’Amérique et l’attribution de la qualité d’allié majeur non membre de l’Alliance atlantique (OTAN) à la Tunisie", rapporte la TAP.
Le ministre est revenu sur les rumeurs prêtant aux Etats-Unis le droit de mener des opérations militaires depuis la Tunisie, niant qu'il existe tout accord militaire de ce type entre les deux pays.
LIRE AUSSI:
- Qu'est-ce que le "terrorisme mental" dénoncé par Béji Caïd Essebsi?
- Tunisie: Quand la toile se déchaine sur un communiqué du ministère des Affaires Étrangères
Retrouvez les articles du HuffPost Tunisie sur notre page Facebook.
Retrouvez les articles du HuffPost Maghreb sur notre page Facebook.