LIBYE - Le président de la République Béji Caïd Essebsi a réaffirmé la détermination de la Tunisie à résister à l’offensive terroriste de l’Organisation de l’Etat islamique - "Daech" - qui, a-t-il ajouté, "est un mouvement politique non religieux dont l’unique but est de conquérir le pouvoir".
"Les combattants de Daech ne sont pas des musulmans et ne représentent pas l’islam", a-t-il lancé dans une interview exclusive accordée le week-end dernier au quotidien italien "La Stampa".
"Pour repousser cette menace terroriste, il faut combattre l’analphabétisme, la marginalisation et le chômage", a-t-il souligné, jugeant indispensable de "créer des postes d’emploi au profit des jeunes Tunisiens pour éviter qu’ils ne soient attirés par les salaires mensuels de mille dollars proposés par Daech".
Dans le même contexte, Caïd Essebsi a plaidé en faveur du retour de la stabilité en Libye, dans la mesure où les terroristes qui attaquent la Tunisie arrivent de ce pays, se déclarant, à ce propos, favorable à une intervention militaire contre Daech en Libye, pourvu que les frappes soient ciblées et que les dommages collatéraux soient limités.
Le 4 février dernier, lors d'une cérémonie de vœux au corps diplomatique en poste à Tunis, le président de la République Béji Caid Essebsi avait affirmé que la Tunisie devait être consultée avant toute intervention étrangère en Libye: "Avant tout acte de ce genre, s'il vous plaît, consultez-nous, parce qu'il peut vous servir mais aussi nous porter atteinte", a t-il déclaré.
Il a également réaffirmé au journal italien son soutien au Premier ministre libyen Fayez Al-Sarraj pour que la Libye reste unie.
Face à l’augmentation du flux migratoire, particulièrement depuis les foyers de tension, le chef de l’Etat a plaidé en faveur de la mise en place d’une stratégie globale de lutte contre la migration qui engage l’ensemble des pays de la Méditerranée.
"Les combattants de Daech ne sont pas des musulmans et ne représentent pas l’islam", a-t-il lancé dans une interview exclusive accordée le week-end dernier au quotidien italien "La Stampa".
"Pour repousser cette menace terroriste, il faut combattre l’analphabétisme, la marginalisation et le chômage", a-t-il souligné, jugeant indispensable de "créer des postes d’emploi au profit des jeunes Tunisiens pour éviter qu’ils ne soient attirés par les salaires mensuels de mille dollars proposés par Daech".
Abou Bakr Baghdadi "est un personnage qui créé le mal et exploite les jeunes", a déclaré le président de la République tunisienne.
Dans le même contexte, Caïd Essebsi a plaidé en faveur du retour de la stabilité en Libye, dans la mesure où les terroristes qui attaquent la Tunisie arrivent de ce pays, se déclarant, à ce propos, favorable à une intervention militaire contre Daech en Libye, pourvu que les frappes soient ciblées et que les dommages collatéraux soient limités.
"Je soutiens les attaques dans la mesure où elles sont concentrées contre des cibles de l'État islamique et avec des dommages collatéraux limités", a expliqué Béji Caid Essebsi au journal italien La Stampa.
Le 4 février dernier, lors d'une cérémonie de vœux au corps diplomatique en poste à Tunis, le président de la République Béji Caid Essebsi avait affirmé que la Tunisie devait être consultée avant toute intervention étrangère en Libye: "Avant tout acte de ce genre, s'il vous plaît, consultez-nous, parce qu'il peut vous servir mais aussi nous porter atteinte", a t-il déclaré.
Il a également réaffirmé au journal italien son soutien au Premier ministre libyen Fayez Al-Sarraj pour que la Libye reste unie.
Face à l’augmentation du flux migratoire, particulièrement depuis les foyers de tension, le chef de l’Etat a plaidé en faveur de la mise en place d’une stratégie globale de lutte contre la migration qui engage l’ensemble des pays de la Méditerranée.
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