L'Union européenne a promis lundi de "redoubler d'efforts" pour aider la Tunisie dans sa transition démocratique cinq ans après sa révolution, afin de surmonter les difficultés économiques et les attaques jihadistes qui ont frappé ce pays.
"On est pleinement conscient du fait que la Tunisie connaît des défis immenses et interconnectés, notamment sécuritaires et économiques", a déclaré la chef de la diplomatie de l'UE, Federica Mogherini, aux côtés de son homologue tunisien Khemaies Jhinaoui, à l'issue d'une réunion à Luxembourg.
"C'est pour l'Union européenne une nécessité et une évidence de mobiliser tous nos efforts pour soutenir le gouvernement et le peuple tunisien afin de permettre la réussite de la transition démocratique et la réussite du pays", a insisté Mme Mogherini.
Notant que "la situation socio-économique de la Tunisie requiert des initiatives nouvelles et urgentes", l'UE promet de "redoubler d'efforts pour identifier toutes les opportunités d'assistance supplémentaire", selon une déclaration écrite commune.
Mais la Tunisie doit de son côté prendre "des mesures pour une meilleure absorption de l'assistance internationale et un renforcement de la coordination des bailleurs internationaux", souligne le texte.
"Partenaire majeur" de la Tunisie depuis la révolution de 2011, l'UE "a doublé son assistance financière au pays" pour atteindre plus d'un milliard d'euros en cinq ans, a rappelé Mme Mogherini. Une tranche de 500 millions d'euros sous forme de prêts a notamment été débloquée en février dernier.
Les difficultés économiques auxquelles la Tunisie fait face, ont été aggravées par des attentats sanglants l'an dernier à Tunis et à Sousse, qui ont brutalement frappé le secteur du tourisme.
Les attaques jihadistes à Ben Guerdane et dans sa région (sud-est de la Tunisie), près de la Libye, en mars, ont une nouvelle fois montré à quel point le pays était une cible privilégiée en Afrique du Nord.
L'UE négocie actuellement un accord de libre-échange complet et approfondi (Aleca) avec la Tunisie, et elle promet de faciliter les voyages, séjours d'études et de recherche de jeunes Tunisiens en Europe.
Bruxelles a aussi fait un geste en augmentant, sur la période 2016-2017, la quantité d'huile d'olive tunisienne exemptée de droits de douane à l'importation vers l'UE.
"On est pleinement conscient du fait que la Tunisie connaît des défis immenses et interconnectés, notamment sécuritaires et économiques", a déclaré la chef de la diplomatie de l'UE, Federica Mogherini, aux côtés de son homologue tunisien Khemaies Jhinaoui, à l'issue d'une réunion à Luxembourg.
"C'est pour l'Union européenne une nécessité et une évidence de mobiliser tous nos efforts pour soutenir le gouvernement et le peuple tunisien afin de permettre la réussite de la transition démocratique et la réussite du pays", a insisté Mme Mogherini.
Notant que "la situation socio-économique de la Tunisie requiert des initiatives nouvelles et urgentes", l'UE promet de "redoubler d'efforts pour identifier toutes les opportunités d'assistance supplémentaire", selon une déclaration écrite commune.
Mais la Tunisie doit de son côté prendre "des mesures pour une meilleure absorption de l'assistance internationale et un renforcement de la coordination des bailleurs internationaux", souligne le texte.
"Partenaire majeur" de la Tunisie depuis la révolution de 2011, l'UE "a doublé son assistance financière au pays" pour atteindre plus d'un milliard d'euros en cinq ans, a rappelé Mme Mogherini. Une tranche de 500 millions d'euros sous forme de prêts a notamment été débloquée en février dernier.
Les difficultés économiques auxquelles la Tunisie fait face, ont été aggravées par des attentats sanglants l'an dernier à Tunis et à Sousse, qui ont brutalement frappé le secteur du tourisme.
Les attaques jihadistes à Ben Guerdane et dans sa région (sud-est de la Tunisie), près de la Libye, en mars, ont une nouvelle fois montré à quel point le pays était une cible privilégiée en Afrique du Nord.
L'UE négocie actuellement un accord de libre-échange complet et approfondi (Aleca) avec la Tunisie, et elle promet de faciliter les voyages, séjours d'études et de recherche de jeunes Tunisiens en Europe.
Bruxelles a aussi fait un geste en augmentant, sur la période 2016-2017, la quantité d'huile d'olive tunisienne exemptée de droits de douane à l'importation vers l'UE.
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